Croiseur de bataille DKM Scharnhorst [Trumpeter 1/200°] de Dyphrologue

Bonjour Paul,
Très  beau travail comme à  l’habitude !
Je vois que ces photos ci montrent les radeaux et autres embarcations de sauvetage dans leur nouvelles version patinées
Bonne continuation !

C'est vraiment un boulot remarquable. J'adore suivre le montage de ce monstre, c'est un vrai régal

Toujours du super boulot !

Superbe travail  

Super boulot, ça promet un très beau croiseur au final.
Sergio.

Tout est ...sans mot .. tellement beau!!!
détails, patine, ... etc
Ebahis je suis à chaque mise à jour du post!!
Cela donnerait envie de se lancer sur ce modèle ... 
mais jamais je n'arriverai à votre hauteur ...
(je suis plutôt bois ... mais quand même! ;-))

bravo (encore et toujours ;-) )
bons vents 
christophe (chrtib)

PS : c'est mieux pour les annexes de secours avec patine.

(suis à court d'idée originale pour écrire un commentaire.....)

C'est vraiment superbe !

Bonjour à tous et merci de vos compliments, on va tâcher de poursuivre!
Avant une pause due aux congés, une petite avancée sur le mât arrière:


Amélioration du haut du mât, avec les lanternes et la PE (à droite) remplacée par du plastique étiré.


Collage de la PE sur ce "croisillon". En réalité, il faudrait remplacer les pièces car le nombre de brins verticaux est incorrect. J'ai décidé que c'était mineur et j'ai laissé les pièces Trumpeter.


Collage des trois éléments, et passage d'un apprêt. La grosse difficulté est de conserver la parfaite verticalité du mât, ici vu de la proue.


Vue de la poupe.
Il reste de nombreux petits détails à coller.

A bientôt et excellents congés à tous!
Paul

Bravo M'sieur.

Bonjour  
Je viens de finir de lire (plusieurs jours ! )et étudier toutes tes photos. La maîtrise du scratch, la recherche en amont, le temps passé et le talent a reproduire ce qui n'existe pas, c'est bluffant. 
Bravo Monsieur, c'est un travail de maître et pour avoir vu récemment les plus belles pièces 39/45 au musée de la Marine de Hambourg, ton Scharnhorst y trouverait une place d'honneur.
C'est proche d'une notice de montage en temps réel, merci de partager avec tant de détail et d'explications la réalisation d'un tel chef d'œuvre.

Bonjour à tous, et merci pour votre fidélité.
Pour ne pas couper le fil, un point sur les tourelles de 280 mm qui sont terminées (le dernier post devait dater du 12 juillet 2021 (le temps passe ...) et se trouve page 2 je pense. Le processus a pris plusieurs mois, en alternance avec le travail sur les divers sous-ensembles. En photos:


Noter la mise en relief des sections des tubes. Ici la tourelle Anton. J'en profite pour atténuer l'effet "flashy" du jaune.


Début de la patine. Elle demande plusieurs passages. Je poserai les échelles en PE avant la patine finale.


Les trois grâces vues de dessus ...


La tourelle Caesar, avec son haut-parleur.


La tourelle Bruno.


Quelques traces de rouille sur Caesar.


Autre vue ...


Tourelles terminées, peut-être un réajustement de la teinte claire, à voir ... Il est évident que les photos montrent les tourelles trois à quatre fois leur taille réelle. L'effet de la patine est atténué quand on les voit en réalité.
Dans les prochains post, la pose des navires de liaison autour de la cheminée, et le commencement de la pose des aériens. Entre autres ...
Excellents congés à ceux qui y sont, courage pour les autres!
Paul

La patine est superbe !
Mais je ne pensais pas qu'il y avait autant de laisser aller pour l'entretien des bâtiments dans la Kriegsmarine 

Bonjour et bravo ... toujours dans la continuité de la perfection
(donc je réitère mes félicitations  ;-) )

Belle patine! 
Juste une petite remarque (on me l'a déjà dit et cela me semble vrai)...
La rouille, on en trouve souvent et partout sur les navires de travail...
moins.... beaucoup moins sur les navires militaires (usures .... quelques coulées ... mise en évidence des reliefs mais peu de rouille ...)
sur un navire militaire ... beaucoup de temps utilisé à l'entretien ... tout est briqué!!!
Alors ... rouille avec modération...;-)

Bons vents 

christophe (chrtib)

Beau travail!

Ce navire avait la réputation d'enfourner la mer de l'avant, mal défendu, lourd, malgré son étrave "Atlantique".

Donc les tourelles devaient prendre "cher" au niveau corrosion et altération peinture en tous genres, je parle pas de la glace en 1943 en mer du nord, ainsi que les conditions météorologique pas très propices à l'entretien.!

1943:







https://youtu.be/5uNdHDe_l4A

Belle peinture mais je serai comme les copains.....un peu trop de rouille,  si dans la marine à voiles les marins n'aimaient pas les lapins dans la marine moderne c'est la rouille 

Bonjour Paul,
Mon pauvre ami, les avis des copains...
Moi, je suis pour la rouille et mon sentiment est renforcé  par le post de Pascal et la vidéo  quant aux conditions 1943 en Atlantique.
Mais alors, nous avons ce jaune sur le dessus de la tourelle qui devrait être plus délabré par la glace et les paquets de mer, maintenant que nous savons que le bateau avait pour habitude d’enfourner.
Cette couleur, comme probablement les gris anthracite,  jaunes ou rouges du dessus des tourelles du Bismarck devait avoir été posées à la hâte dans de mauvaises conditions et avoir d’avantage souffert.
Ce n’est qu’un avis, mais tu sais comme je suis réticent aux couleurs flashy sur ce type de bateau et comme déjà dit j’apprécié beaucoup ta nouvelle patine des radeaux et autres embarcations de sauvetage.
Amicalement,

Bonjour à tous!
très intéressante discussion sur la rouille sur le SCHARNHORST. Merci pour les documents. En fait chacun a raison selon la période, et un moment donné de la vie du navire.
Depuis le début, je me suis fondé sur le fait que la maquette représente le navire lors de son dernier combat. Effectivement, en mer et en 1943, il y a peu de chances que la peinture ait été une priorité (et avec des moyens probablement limités aux organes prioritaires). D'ailleurs les photos montrent bien la peinture de la coque très abîmée. Source: Historyphotos.org.
Ci-dessous deux photos en 1940 et 1942, qui montrent que même les tourelles et leur barbette portaient des coulures de rouille. Pour le jaune, il est déjà atténué, je verrai à l'extrême fin pour l'aspect final.


1940: même au début du conflit, il y a des traces!


1942. On voit bien les coulures, probablement plus légères sur Bruno. Voir les autres photos sur le site.

A bientôt!
Paul

Impossible d'appliquer de la peinture en hiver surtout sous ces latitudes.

Bonjour à tous,
merci Pascal, Jean-Marie, Pierre, Cédric, Renaud, Richard ... et tous les passionnés. Je note donc que je maintiens la rouille, sans en faire trop tout de même.
Suite au dernier post du 18 juillet sur le mât avant, je continue avec les aériens autour de ce mât. J'ai décidé d'utiliser le fil fin E Z Line. Comme il serait fastidieux de décrire toutes les étapes, voici en résumé comment de procède, avec le matériel adéquat et dont j'ai l'habitude:


Mes outils favoris! On verra pourquoi les mini-pinces à linge!
J'étudie d'abord dans le détail les différents brins, leur point de départ et leur point d'arrivée. Je colle chaque brin au plus près du centre, et après séchage, je l'amène vers l'extérieur. Au début ce n'est pas un problème, mais si on commence par l'extérieur, c'est de plus en lus difficile d'accéder aux points de collage vers le centre. Le coupe-fil me permet de couper au plus près du point de collage.
Et maintenant quelques photos:



Préparation de deux tresses à 3 ou 4 brins selon le cas, pour les câbles qui démarrent du même point au pied du mât, ou des autres points d'attache.


Collage de la base des "tresses".


Après collage et séchage des deux "tresses" le long du mât, remontée des brins vers le haut pour passer par dessus la barre horizontale.


Fixation des câbles verticaux par un point de colle, en utilisant le poids des pinces. Je coupe le bout restant avec le coupe-fil après une nuit de séchage pour éviter tout problème.


Suite des collages.


Le mât avant enfin équipé d'une partie des aériens.


Evolution du travail ...


La jungle se densifie ... Attention aux gros doigts!


Mise en contact de deux câbles par simple rapprochement grâce au glissement du portique en Lego. Un point de colle sera appliqué au cure-dent au point de contact ( )


Le portique vu de près, avec le câble à droite.



Suite des tensions et collage avec les mini-pinces à linge.



Au milieu de la jungle, on voit bien le câble qui remonte vers la barre transversale LEGO, et qui est amenée au contact du câble qu'il doit rejoindre. Sur cette photo, ne pas confondre les espaces entre les briques Lego avec les câbles!


Fixation de quatre câbles en même temps: vu du haut.


Fixation de quatre câbles en même temps: vu de l'arrière du château avant. A droite et à gauche, les deux tresses en attente d'être collées aux câbles horizontaux.

Si tout va bien, le prochain post montrera les aériens avant terminés, et le démarrage des aériens du mât arrière.
A bientôt,
Paul

J'adore les astuces de montages des aériens! Bien vu les portiques en Lego, j'y avais jamais pensé

Quel beau travail de précision avec le plus de réalisme possible. Bravo
Dan.

jolie technique

Mais je ne me vois pas le tenter au 1/700 !

Superbe description et excellent idee que de commencer le montage des fils, sur un module (au lieu de la maquette finie). 

On retient tout cela.

Yves