Tout sur l'impression 3D

L’Ultra V1 consomme peu, et on ne l’entend quasiment pas, on peut se demander s’il elle fonctionne parfois..  

Le slicer d’Anycubic n’est pas terrible, mais il permet d’utiliser la machine le temps que Chitubox se mette a jour et intègre la D2 ou autres.
Dans ce cas j’utilise Chitubox comme d’habitude pour les supports. Une fois qu’ils sont  placés, je sauve le projet, puis je sauve également en fichier STL. J’importe le fichier STL qui comprend les supports dans le slicer d’anycubic, puis je slice pour avoir mon fichier pour l’ultra. C’est comme ça que j’ai procèdé le temps que Chitubox intègre cette nouvelle imprimante a l’époque.

Un autre essai de la D2:
https://www.lesimprimantes3d.fr/test-anycubic-photon-d2-20220906/

Un truc intéressant en bas de page que je ne connaissais pas, un menu caché pour le réglage des UV:

« Y a t’il comme sur la Photon Ultra un “UV Set Up ” caché dans le menu “Systeme” (Icône non affichée, en dessous de “Language”, mais qui bip, et si l’on appuie 11 fois de suite ( 11 bips ) sur la zone, on se retrouve dans le menu “UV Set Up” ) ?« 

« Le menu caché existe. C’est en fait exactement le même écran et logiciel que la Ultra.«

Les DLP sont plus chères à l'achat mais ce n'est plus trop le cas si on intègre le remplacement d'un écran LCD alors que la puce DLP continuera de fonctionner bien plus longtemps. (logique, les UV ne traversent rien mais sont seulement reflétés sur un miroir).  Reste la taille du plateau encore limité, quand ils vont intégrer des puce 4K cela va s'arranger.  Par contre à ce prix le coup du bac pourri....

Pour le reste, consommation, bruit, poids, que des avantages, cette technologie devrait prendre le pas ( un peu comme pour les video projecteurs où en bas et moyen de gamme le DLP a supplanté le LCD )

Et voila après anycubic que nous a présenté Pascal, c est au tour d elegoo de sortir une DLP : la Mars 4, le plateau un peu petit, a quand une saturne dlp



Lien de la page
ici

Apparemment , c'est la même puce DLP de Texas Instrument qui équipe la D2 d'Anycubic. 2560 x 1440 pixels . A quelque chose près, c'est la même taille de plateau 133 x 74.7.
Trop petit pour mes projets et comme je n'ai pas besoin de plus de précision, je vais encore attendre.

Pour mon utilisation, l'argument de la durée de vie des projecteurs (20 000 heures) ne me convainc pas vraiment. A raison d'une centaine d'impression par an en moyenne de 10 h, c'est donc 20 ans que la puce peut durer. Dans 20 ans (si je suis encore là...) j'aurais changé au moins 10 fois d'imprimante.

Bernard

Les autres avantages sont le silence, parfois on se demande si elle fonctionne, et la faible consommation électrique. Ce qui est dans l’air du temps.

Je pense que ce type d’imprimante va encore progresser et prendre des parts de marché par rapport au LCD monochrome qui arrive au bout de son développement.

Pas grand chose de neuf en terme de nouveauté cette année. A part le DLP.

A-t-on une idée de la résolution sur X, Y et Z de cette imprimante Mars 4 ?

C'est la même puce que la D2 d'Anycubic, un e 2K (2560x1440) et le plateau est quasi identique 133x75 mm contre 131x73, on est sur du 50 um (10 um en Z).

Mais ce n'est pas directement comparable en résolution avec les LCD, ce serait encore meilleur que du 4K en LCD soit 25 um ( meilleur contraste et séparation des pixels ).

Mais difficile de comparer le LCD et le LDP, la résolution n'est pas ce qui a de plus important.

Pour ma part, j'imprime les petites pièces avec. C'est précis et très fin comme impression, les dimensions de la pièces font quasi les dimensions du dessin, ce qui est plus pratique pour les pénétrations de pièces l'une dans l'autre. Mais c'est vrai que c'est plus cher, pour le moment. Mais si les deux marques se dirigent vers ce type d'impression, c'est qu'il ya encore de la marge de progression.

Je pense qu'avec la D2 et la Mars4, il y encore un saut de fait au niveau précision par rapport à mon Ultra qui était un prototype commercialisé.

Un bon résumé:

https://cults3d.com/fr/blog/articles/imprimantes-3d-dlp-et-lcd-quelles-differences

LES BASES DE L'IMPRESSION 3D À BASE DE RÉSINE

L'impression 3D à base de résine relève de la vaste catégorie de la photopolymérisation en cuve, qui est considérée comme l'un des principaux types de techniques d'impression 3D. Le concept tourne autour de la capacité des résines photosensibles en phase liquide à se solidifier lorsqu'elles sont exposées à une certaine forme d'énergie lumineuse.

L'impression 3D sur résine utilise cette capacité pour créer des objets 3D à partir de résines liquéfiées, qui sont sélectivement exposées à la lumière pour solidifier les régions souhaitées de la résine. Seules les parties de la résine solidifiées par la source lumineuse font partie de l'impression 3D, le reste restant liquide.

Une configuration courante d'impression 3D en résine comprend un plateau, ou une cuve (en termes techniques), qui est rempli de résine liquide, une source de lumière et un mécanisme pour diriger la source de lumière vers le point spécifique de la résine qui doit être solidifié.

En outre, il y a également une plate-forme de construction qui peut monter et descendre à l'intérieur de la cuve avec une précision remarquable. Pour chaque nouvelle couche, la plate-forme de construction descend jusqu'à la base de la cuve, laissant juste un minuscule espace (0,5 mm dans la plupart des cas) dans lequel est construite la couche qui adhère à la plate-forme. Pour les couches suivantes, la plateforme continue à remonter un peu à chaque fois, chaque nouvelle couche étant construite à l'intérieur de l'espace nouvellement créé et collée à la couche supérieure. Le modèle d'impression 3D en résine est construit à l'envers, car la lumière traverse le fond de la cuve.

Voilà ce qu'est l'impression 3D à base de résine ! Passons maintenant aux deux technologies passionnantes dont nous voulons parler.

L'IMPRESSION 3D DLP

Le traitement numérique de la lumière, alias DLP, utilise un projecteur de lumière numérique comme source de lumière pour solidifier les résines. Cette source de lumière est caractéristique de cette technologie et constitue une différence majeure entre elle et le LCD.
Le projecteur projette sa lumière sur un dispositif unique appelé DMD (Digital Micromirror Device), qui comprend un très grand nombre de très petits miroirs, chacun capable de dévier la lumière du projet dans une direction différente. Pour chaque couche, ces miroirs sont disposés selon une orientation spécifique qui reflète le faisceau lumineux numérique du projecteur sur la cuve, à la forme exacte de la couche/tranche en cours d'impression.

Les miroirs ne sont en aucun cas capables de modifier la nature de la source lumineuse, ils ne font que la guider. Cela signifie que le nombre de pixels créés sur la plateforme de construction est le même que celui du projecteur. Ainsi, si la couche est un peu plus petite que le faisceau du projecteur, l'image est en fait un peu plus nette et plus précise que celle qui est projetée ! Il y a cependant un inconvénient à cela. L'inverse se produit si la tranche imprimée est plus grande que l'écran du projecteur. Dans ce cas, la résolution diminue et il y a également des risques de distorsion sur les bords, car la lumière est réfractée un peu trop loin (comme le pied d'éléphant dans l'impression filamentaire).

Les imprimantes 3D DLP modernes et plus chères utilisent des technologies avancées pour minimiser ce problème de distorsion et parviennent à maintenir la qualité des couches malgré le grossissement. Ce résultat est tel que ces imprimantes 3D DLP peuvent facilement être considérées comme des produits à usage professionnel.

La technologie DLP existe depuis longtemps en raison de l'âge de la source lumineuse : les projecteurs sont des appareils centenaires largement utilisés dans les cinémas. La technologie est donc éprouvée et testée.

IMPRESSION 3D LCD

L'impression 3D LCD, également connue sous le nom d'impression 3D MSLA, est une technologie relativement récente par rapport à la technologie DLP. Comme indiqué ci-dessus, elle utilise une source lumineuse différente de celle de la DLP : des LED ultraviolettes qui brillent à travers un écran LCD.
Bien que le LCD crée également des couches complètes en même temps que les imprimantes 3D DLP, la qualité des couches dépend de la résolution de l'écran. Plus la densité de pixels de l'écran LCD est élevée, meilleure est la qualité d'impression. En outre, il n'y a pas de problème de distorsion car l'impression créée par le LCD est transférée telle quelle à la résine sans déviation. Comme la taille de la projection originale sur l'écran LCD ne change pas, l'empreinte de l'impression est limitée par la surface de l'écran, de sorte qu'un écran plus grand est nécessaire pour des impressions plus grandes.

Le coût est un problème complexe avec les imprimantes 3D LCD. Le matériel est bon marché car les écrans LCD utilisés dans ces appareils sont pratiquement les mêmes que ceux utilisés dans les smartphones. Le problème, cependant, est qu'ils doivent être remplacés fréquemment pour maintenir la qualité. L'idée que les imprimantes 3D LCD sont bon marché est vraie, mais il faut connaître les coûts opérationnels qu'elles impliquent.

DLP OU LCD : QUEL EST LE MEILLEUR CHOIX POUR VOUS ?

DLP et LCD sont assez similaires à bien des égards : technologie, qualité d'impression, vitesse, applications, etc. Sont-ils pour autant identiques ? Non.

Il y a quelques éléments que vous devez prendre en compte avant de choisir l'un ou l'autre. Parlons d'abord de la qualité d'impression. Comme mentionné ci-dessus, elle est comparable pour les deux imprimantes 3D. La finition est lisse et les couches sont indiscernables. Toutefois, la DLP prend l'avantage à cet égard. Les options les moins chères se comparent bien aux imprimantes LCD, mais dès que vous envisagez des imprimantes 3D DLP de niveau moyen (qui prennent en charge la distorsion et le gauchissement des couches), la qualité de fabrication est beaucoup plus détaillée et fine.

En termes de coût, le LCD est l'option la moins chère. Même si l'écran doit être changé, la technologie elle-même est tellement disponible et bon marché que la DLP reste plus chère. Mais cela se fait au détriment de la qualité, qui doit être connue.

La compatibilité avec le matériau de la résine est un autre facteur à prendre en compte. La plupart des résines sont utilisables avec les imprimantes 3D DLP et LCD, mais certaines ne conviennent qu'à l'une ou l'autre. Cela dépend de l'intensité énergétique de la source lumineuse. L'écran LCD utilise une source lumineuse à faible énergie et les résines qui durcissent rapidement lui conviennent. Si une autre résine est utilisée, elle ne durcira pas correctement et l'intégrité structurelle du modèle sera compromise. Naturellement, la DLP est compatible avec les résines qui mettent un certain temps à durcir en raison de leur source à haute densité d'énergie.

Dans l'ensemble, tout se résume à votre application spécifique. Les personnes qui exigent une qualité de niveau professionnel et disposent d'un budget plus élevé devraient toujours opter pour le DLP, car il est mieux adapté au travail détaillé. Les consommateurs qui débutent ou qui ont des applications de faible précision avec un budget plus serré devraient envisager les imprimantes 3D LCD, qui sont également très bonnes à bien des égards.

En effet un très bon résumé, merci Pascal
Pour un changement, je donnerait plus d importance aux dimensions, j attendrai donc les prochaines sorties dlp, qui seront surement plus imposante, pour le moment ma Mars me suffit

Bonjour à tous,

Je voudrais savoir si cela vous est arrivé d'avoir ce résultat ??!! 
Dans mes essais d'impression de chaloupe pour mon Budapest, j'ai eu ça comme sortie ! : 



Désolé je n'avais pas vu que la photo était floue !
Donc ce "voile" très fin qui tombait tout autour de la chaloupe comme un voile de mariée ! Chaloupe ratée forcément ....
Donc cela vous est-il arrivé et quelle explication ??!!

Alain

Etonnant.

ce voile très fin ne peut avoir été imprimé que par une exposition complète de la surface du plateau sur 1 (?) couche.
Peut-être un bug dans le fichier d'impression qui comprend à la hauteur de cette couche une image partiellement noire qui va insoler tout le plateau ? .
En examinant couche par couche le fichier, à la hauteur estimée, on peut peut-être distinguer cette couche foireuse.

Bernard

Pas mieux que Bernard, tu utilises Lychee je crois, je ne vais pas pourvoir t’aider plus.

D’autre part, j’aurais imprimer verticalement le canot, le tableau ar côté plaque, c’est plus long, mais ça limite grandement le nombre de supports, ils sont principalement sur le tableau ar, qui est facile à poncer après les avoir retirer. Quelques supports sur la quille et hop.

Bonjour à tous,

Vous allez me dire que je les collectionne !!!!

Voilà un autre truc qui vient de m'arriver en sortie d'impression ! : 




Autant la première fois j'avais un voile vertical, autant là c'est une couche horizontale qui n'a rien à faire là car pas de dessin du tout !!!! 
Cette couche parasite fait 0.15 mm d'épaisseur et donc .... pourquoi ??? 

Ca pourrait venir d'un bug de la clé USB ?? Ou du slicer ???? Bizarre car quand je regarde la génération du fichier ctb, je vois toutes les couches apparaîtrent normalement, je ne vois pas d'anomalie

D'accord Pascal, je comprends bien que mettre le canot vertical supprime bien des supports, mais par exemple j'ai réussi à sortir (enfin ...) une Segelbarkasse de 168 mm pour mon Budapest : 



Et déjà là ça m'a pris pratiquement 16 heures d'impression ! Alors en vertical, j't' dis pas, je la mets maintenant et je la récupère à la rentrée de mes vacances !!! 

Par contre c'est vrai ça coûte un bras en support !!! Bon elle est bien verrouillée faut dire !!!

Alain

Ça vaudrait peut-être le coup de changer de slicer, histoire d'éliminer un coupable potentiel....

16 heures !
Ca me parait bien long pour une impression de cette hauteur ?
C'est quoi tes réglages : exposition et épaisseur de couche ?

Steph, oui changer de slicer je me suis poser la question. J'utilise Lychee je le trouve très prtaique mais bon à voir effectivement.

Bernard je n'ai pas tous les paramètres en tête, je te mettrais ça ce soir,  mais j'imprime en 15 microns.
C'est très petit j'en conviens mais pour les détails c'est quand même bien !
Après je pourrais toujours faire un essai en plus épais j'en aurais encore d'un autre type à imprimer

Imprimer de cette manière, c'est pas tant le nombre de supports et le gâchis de résine, c'est le nombre de points à poncer le long de la coque, de plus je serais curieux de voir le dessous avec l'effet parasite "coussin" qui n'est pas top pour l'état de surface. J'évite de mettre des points de supports sur la coque.

Si tu dessines des lignes de tôles ou les planches du bordé, ça peut aussi ruiner l'état de surface, car presque impossible de poncer dans ce cas.

Effectivement à 15 microns ça peut faire mal au niveau temps, je suis revenu au 50 lors de mes dernières impressions de barcasses, c'était plus rapide et plus précis du fait de la diffusion des UV dans les pixels voisins, c'est plus marqué à 20 microns vu que les couches sont plus fines.

Alors Pascal .... tu as parfaitement raison sur tous les points !!!!

C'est clair que ma manière de faire, pour le moment, n'est pas du tout économe en supports !
Après, il y a effectivement pas mal de travail de ponçage sur la coque.
Voilà ma barcasse dégrappée : 



et donc le dessous sorti brut : 



Il y a donc toutes les traces de supports à poncer.
Alors je ne sais ce que tu appelles l'effet "coussin" ?. 
Ma coque n'est pas tout à fait "harmonieuse" avec un peu de creux et de bosses ! : 



Donc du masticage à faire mais je ne pourrais dire si ces défauts sont du fait de ton "effet coussin" ou de l'imperfection niveau dessin de la coque car pour le moment je ne sais pas utilisé les lignes d'eau comme rails dans la modélisation de la coque !
Vaste sujet à voir par ailleurs !

Là c'est la plus grande 168 mm que j'ai eu à faire donc là .... c'est fait ! Après j'ai encore un autre modèle à faire et je vais essayer comme toi, je verrai bien la différence !!!

Il y a toujours la face coté plateau qui est "inutilisable", on le voit bien sur ta photo avant ponçage, c'est bien sûr proportionnel  à l'angle que tu donnes à l'objet. Mais c'est malheureusement imparable.

C'est pour cette raison que je positionne le tableau arrière du bateau du coté de la plaque d'impression.

Pour les grands bateaux mieux vaut les diviser en deux au milieu et j' imprime les deux morceaux verticalement, la coupe coté plateau.

Ce phénomène peut être problématique avec les navire qui ont un gaillard avant et/ou arrière. La cloison verticale du gaillard sera vallonée forcément. J'ai trouvé la solution en imprimant à part cette cloison comme sur l'Hydrograaf.







Un exemple de l'effet "coussin" sur cette tourelle, j'ai fait exprès de l'imprimer hz pour que ça ne soit que la face intèrieur qui subisse cet effet, quant à l'arrière plat de la tourelle est facile et en se voit pas une fois en place sur le navire.

On peut voir les emplacements de pointe des supports, mais entre les supports on voit aussi des creux et des bosses prononcées, j'ai poncé très légèrement ici. Ce phénomène se produit sur toutes les imprimantes résines, plus ou moins.

Je m'explique ce problème en me disant que la résine liquide reste stagner sur ces parties et se solidifie à chaque couche inférieure insolée, par transparence

Ca n'arrive pas qu'aux autres.
Depuis quelques temps ma Mono X a la fâcheuse tendance à me couper les impressions à des hauteurs aléatoires 5mm, 2 cm, 4 cm , comme sur cette dernière photo.
Mes jolies pelles se sont pris une pelle à 4cm.





Je subodore que mon plateau qui présente un jeu le long de la tige filetée d'environ 1 mm est à l'origine du problème.
Je prévoit de changer l'écrou de la tige filetée responsable du jeu.

Votre avis ?

Bernard

J'utilise la version 1.90 de Chitubox avec les Mono X au lieu de la dernière 1.94 ( Sauf pour l'ultra qui y est intégrée.) Cette version m'a fait des trucs bizarres par moment.

Sinon sur ma première Mono X 4K j'ai également du jeu, mais ça semble normal, ca évite un arrachement brutal de la résine du film, il y a un ressort dans le système qui rattrape ce jeu. Bien graisser la vis avec de la bonne graisse. Ca fonctionne toujours très bien malgré les heures de vol..

L'ensemble écrou ressort  ( La noie ) doit être commandée chez Anycubic, le pas est différent des trucs vendus sur ebay pour imprimante.

Par exemple, ça, ce n'est pas bon, j'ai testé     :

C'est très chiant à mettre en place correctement..

https://www.ebay.fr/itm/184599485330

Je travaille aussi avec lychee, et je n ai eu qu une seul fois ce problème de voile parasite dans le verre d un fanal, mais après des recherches, je me suis aperçus que c était une surface crée, oubliée ou même apparue dans le soft de modélisation lors d une extrusion, peut être une piste a suivre
Un autre point, que j ai découvert avec des tuto sur lychee, ils disaient qu il fallait éviter les verticales et horizontales et préconisait un angle de min 30°, je suis loin d être un expert dans l impression j ai débuté il y a peu.
Ben M... Bernard pas de chance après la déformation du plateau, l axe, pff galère, mais je pense qu elle n a pas chômé non plus. Sur la premier pelle a droite on dirait que l impression a bougé c est la seul a avoir continué plus loin, j avais eu un problème similaire la cuve de résine mal fixée et j avais aussi eu des partie qui avait arrêter d être imprimée et d autre disloquée  j avais aussi des plaque sur le film

En fait le plateau n'est pas déformé, c'est voulu. Les miens ont tous une courbure.

Oui le mien aussi, mais celui de Bernard était bien voilé, il nous avait montré une photo

Bernard, voilà les paramètres actuels que j'utilise : 



Comme le préconise Pascal, j'essaierai de faire une impression de chaloupe mais en vertical, je verrai bien la différence !

Pascal, j'ai compris ton effet "coussin". Effectivement entre les supports c'est plus ou moins bosselé, ça s'atténue lorsque la pièce est plus verticale.
Je m'en suis aperçu en faisant des chaumards : 



Au début imprimés à plat j'avais le dessous du socle qui était bosselé donc même sur une petite surface. Problème résolu en inclinant la pièce, dessous du socle bien plat !
Donc pour éliminer l'effet "coussin" il faut autant faire se peut imprimer toute surface plane la plus verticale possible mais du coup .... c'est plus long !!!