[GÉNÉRIQUE] Actualités Maritimes

Bien le bonjour

comme tu dis  ça commence à peser lourd comme pertes russe

les contres mesures russes ne semble pas vraiment au point

OPÉRATION D’ASSISTANCE AU CONVOI DE LA COQUE DE L’ANCIENNE FRÉGATE CASSARD, À L’ENTRÉE DE L’ESTUAIRE DE LA GIRONDE

Opération d’assistance au convoi de la coque de l’ancienne frégate Cassard, à l’entrée de l’estuaire de la Gironde

21 févr. 2024

Le mercredi 21 février 2024, à 08h35, le port de Bordeaux, informe le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage Atlantique (CROSS-A) Etel de la survenue d’une rupture de remorque sur le convoi formé par le remorqueur Sea Dream et la coque de l’ancienne frégate de la Marine nationale Cassard, à l’entrée de l’estuaire de la Gironde.

Le CROSS-A Etel prend immédiatement la coordination de l’opération et engage en relation avec le centre des opérations maritime de l’Atlantique (CENTOPS), basé à Brest, l’hélicoptère Dauphin de la Marine nationale, basé à La Rochelle, qui procède à l’hélitreuillage d’une équipe portuaire du port de Bordeaux (trois lamaneurs et un pilote), sur la coque du Cassard afin de faciliter les manœuvres.

Parallèlement un remorqueur portuaire, le RM Thomas du Port de Bordeaux, initialement prévu pour escorter le convoi à son arrivée dans l’estuaire, est déjà en route.

A 11h12, le RM Thomas arrive sur zone. A 12h40, l’équipe portuaire est treuillée à bord du Cassard par l’hélicoptère Dauphin.

Dans des conditions de mer formée, les moyens engagés parviennent à stabiliser la coque et débute son convoyage, à faible allure, en direction du port de Verdon-sur-mer situé à l’entrée de l’estuaire.

Rejoints à 19h06 par le remorqueur TSM Drenec du port de Bordeaux, le convoi est arrivé sans encombres au port de Verdon-sur-mer à 20h16.

La coque de l’ancienne frégate Cassard était partie de Toulon début février en direction du port de Bordeaux afin d’y être déconstruite. Préparée pour cette opération, elle ne présente aucun risque de pollution.

https://www.premar-atlantique.gouv.fr/communiques-presse/operation-d-assistance-au-convoi-de-la-coque-de-l-ancienne-fregate-cassard-a-l-entree-de-l-estuaire-de-la-gironde

Le navire britannique M/V RUBYMAR , touché par des missiles des forces armées yemeni (« Houthis ») transportait de l'engrais potentiellement explosif lorsqu'il a subi des dommages « catastrophiques ».

L'équipage a été évacué et le navire risque de couler en mer Rouge.

Pauvre fin pour cette frégate dont j’ai présenté il y a peu une de mes photos du temps de sa splendeur en 1994...



Elle avait plus belle allure

Fort intéressant tout ça.
Ton sujet est très instructif et bien entendu fort bien illustré,bravo

Cargo à voiles Grain Sail II - Première sortie sous voiles.

Iceman29 a écrit:

Je suis pas objectif, ils sont à quelques kilomètres de chez moi, et j'achète uniquement leur chocolat..  

https://graindesail.com/fr/13-notre-boutique

Le voilier-cargo Grain de Sail II a été construit par les chantiers Piriou au Vietnam. (Photo Grain de Sail)




Grain de Sail II sans ses mats de 40 mètres qui seront gréés cette semaine à Saint Malo.


Grain de Sail II : Le nouveau voilier cargo morlaisien se prépare à traverser l'Atlantique, depuis Saint-Malo.

De Gabin Grulet

Samedi 2 décembre 2023

Grain de Sail II termine sa dernière phase de travaux avec le mâtage à Saint-Malo. Ce voilier cargo de plus de 50 mètres traversera l'Atlantique sans utiliser de moteur, avec 350 tonnes de marchandises à bord.

Son immense coque rouge et noire est visible depuis l'autre côté du quai. Dessus, en lettres capitales, est écrit son nom : GRAIN DE SAIL II. Le voilier cargo est au port de Saint-Malo pour les derniers mois de travaux : le mâtage et les tests en mer. L'entreprise morlaisienne a vu les choses en grand : 52 mètres de long, 11 mètres de large et des mâts d'une quarantaine de mètres qui sont arrivés ce mardi 28 novembre sur le quai. Des dimensions deux fois plus grandes que le premier voilier cargo, Grain de Sail.

"C'est mon bébé !", s'exclame Loïc Briand, en grimpant sur la passerelle qui mène au navire. Depuis un dessin sur une feuille blanche jusqu'à le voir à quai, le concepteur a vu passé trois ans. "J'ai un peu pleuré à l'arrivée du bateau dans la cité corsaire", confie celui qui dit n'avoir jamais vu un voilier aussi grand. Grain de Sail II sera capable de traverser l'Atlantique en moins de deux semaines, quasi exclusivement à la voile, en transportant 350 tonnes de marchandises.

"On le verra au-dessus des remparts"

Juste à côté du bateau, les mâts sont en train d'être préparés. "J'ai hâte de les mettre et qu'ils dépassent le clocher de Saint-Malo, sourit Loïc Briand, et quand les copains arriveront au port, ils sauront si on est à quai parce qu'on le verra au-dessus des remparts". Le premier voilier cargo, de 26 mètres, était un essai qui pouvait transporter 26 palettes. Le nouveau double la longueur, mais aussi la largeur et la hauteur, avec une capacité de 300 palettes.



"Venez, on va visiter la cale", lance Laurent Jeaneau, l'homme en charge de l'organisation du transport de marchandises qui n'en revient toujours pas de la dimension du voilier : "C'est impressionnant d'être sur ce navire, de se rendre compte du changement d'échelle". Dans la cale, au cœur du navire, les emplacements des palettes sont prêts. "Il faut imaginer dix semi-remorques qui font la queue, on prend toutes leurs palettes et on les mets dans le bateau", décrit celui qui admet se perdre encore dans ce "labyrinthe" qu'est Grain de Sail II. Le navire transportera des produits industriels, paramédicaux, cosmétiques, ou encore de l'alimentaire sec comme du café. L'entreprise de chocolat ouvre cette fois son bateau à tous les potentiels clients intéressés.

Traverser l'Atlantique à la voile

Le voilier cargo a pour principe de naviguer uniquement à la voile. Le moteur n'est utilisé qu'à l'entrée et à la sortie du port car la réglementation l'impose. "On utilise des moyens modernes pour refaire du transport maritime de manière plus vertueuse", explique Laurent Jeaneau qui assure que cette méthode réduit de 95 à 98% le bilan carbone des marchandises par rapport à un porte-conteneur. Mais le responsable logistique nuance : "on a conscience qu'on n'arrivera pas à transporter autant de marchandises que ce que l'on peut mettre dans un porte-conteneur, mais on ouvre la voie".



Malgré cette exigence, la durée de la traversée ne devrait pas dépasser seize jours. Deux "routeurs" s'en assurent, il s'agit de spécialistes des vents et des courants qui travaillent à trouver la meilleure route possible. Grain de Sail II sera baptisé en janvier avant sa première traversée, direction New York. L'objectif est d'assurer six allers-retours par an.

https://www.francebleu.fr/infos/transports/un-immense-voilier-cargo-est-a-quai-a-saint-malo-avant-de-traverser-l-atlantique-6975791

https://www.youtube.com/@graindesail2297/videos

Une belle aventure.

Bien le bonjour 

passionnante cette aventure

c'est un beau bestiau...

Marine suédoise:

La poupe de la frégate HDMS Esbern Snare F342 dans la Flådestation Frederikshavn.

Une vague a rompu la poupe de la frégate HDMS Esbern Snare à la base navale de Frederikshavn vendredi matin. La poupe a dérivé sur les eaux du port et est entrée en collision avec le navire jumeau HDMS Absalon.

Des remorqueurs s'occupent de la situation. Il n'y a pas eu de dommages corporels et les dégâts doivent être inspectés.

Trop de couacs, le nouveau bateau de l'île d'Yeu va retourner chez son constructeur Piriou.

De Yves-René Tapon
Jeudi 22 février 2024

Par France Bleu Loire Océan

Les couacs s'enchaînent pour l'Insula Oya III. Inauguré en grande pompe en mai 2023, le nouveau navire de la compagnie Yeu Continent accumule les problèmes techniques. À tel point, et c'est une information France Bleu, que le bateau va être renvoyé un certain temps aux chantiers de Concarneau.



Plus rapide, plus grand, et plus propre que l'ancien Insula Oya II. Lors de son inauguration en mai 2023, les éloges étaient nombreux pour évoquer le nouveau bateau de la compagnie Yeu Continent. Le navire Insula Oya III, qui a coûté 22 millions d'euros, est capable de transporter 400 passagers, au lieu de 250, et plus de marchandises. Et il devait être relié au réseau électrique lors de ses manœuvres à quai.
"C'est un gros retour en arrière et une belle déception", Carole Charuau

Lors de sa livraison, la région Pays de la Loire avait listé une centaine de réserves indiquées dans leur dernier numéro par nos confrères du Sans-Culotte 85. Il en reste une dizaine et pas des moindres. "La rampe, à savoir la porte qui se déplie du bateau jusqu'aux quais, dysfonctionne. Donc, on ne peut plus rentrer et sortir du bateau quand ça tombe en panne, explique la maire de l'île d'Yeu, Carole Charuau, et puis les grues à l'avant et à l'arrière du bateau qui soulèvent les conteneurs tombent en panne régulièrement. Donc ça impacte le trafic de marchandises". Pour l'élue, c'est "un gros retour en arrière et une belle déception".



"On appliquera le contrat et rien que le contrat", la région Pays de la Loire

Des discussions sont en cours avec les chantiers Piriou de Concarneau pour convenir des dates de réparation, mais ces derniers renvoient la responsabilité au sous-traitant.

"Nous ne discutons qu'avec Piriou, on appliquera le contrat et rien que le contrat" répond-on du côté de la région. Fort heureusement, l'ancien bateau Insula Oya II actuellement à quai Saint-Nazaire n'a pas encore été vendu et va donc reprendre du service.

Des contrôles sont en cours. Le personnel ne sera pas trop perdu quand il retrouvera son ancien navire. On ignore encore la date précise de ce changement de bateau, l'objectif est que l'Insula Oya III revienne pour la saison estivale.

https://www.francebleu.fr/infos/transports/information-france-bleu-retour-au-chantier-pour-le-navire-insula-oya-iii-de-yeu-continent-5081637

2023:

ouaaaa

trouver de tels couacs sur un navire de ce type !

Et on se moque de Boeing avec ses avions mal finis .

Les grues sont de fabrication espagnol, Toimil. La rampe hydraulique aussi peut être..

https://toimilgruas.com/en/toimil-marina/

Allez hop retour au chantier !

Colombie: le trésor du légendaire galion espagnol San José bientôt remonté à la surface.

La Colombie a annoncé vendredi le début en avril de l'extraction par robot des objets d'une "valeur inestimable" de l'épave du légendaire galion espagnol San José, coulé il y a trois siècles dans les Caraïbes avec ses cales remplies d'or et de pierres précieuses.

Le vaisseau, l'un des plus grands de l'armada espagnole et dont la valeur est s'élève à des milliards de dollars, avait été coulé par la flotte britannique pendant la nuit du 7 juin 1708 près des îles du Rosario, au large de Carthagène des Indes, dans le nord-ouest de la Colombie.

En pleine guerre de succession en Espagne (1701-1712), le navire acheminait l'or, l'argent et les pierres précieuses depuis les colonies espagnoles en Amérique vers la cour du roi Philippe V. Seuls quelques membres d'équipage, sur les 600 à bord avaient survécu au naufrage.

Sept ans après la découverte de l'épave, les autorités colombiennes vont commencer à remonter les objets visibles autour de l'ancien navire, "sans modifier ou endommager l'épave", comme des pièces de céramiques, a indiqué à l'AFP le ministre de la Culture Juan David Correa.

Il s'agit de voir comment ces objets "se comportent en sortant (de l'eau) et de comprendre ce que l'on peut faire" pour récupérer le reste des pièces de valeur, a-t-il expliqué à bord du navire de la marine ARC Caribe, base en mer des opérations à venir.

Il n'a pas précisé si lors de cette première phase des objets parmi les plus précieux pourraient être extraits.

Les travaux, d'un coût de 4,5 millions de dollars, seront réalisés à l'aide d'un robot capable de descendre à 600 mètres de profondeur, là où se trouve l'épave.




Son emplacement exact est cependant tenu secret, afin de protéger des pirates et autres chasseurs de trésors malintentionnés, ce qui est considéré comme l'une des plus grandes découvertes archéologiques de l'histoire.

L'armée colombienne avait révélé des images inédites de l'épave en 2022, au terme de quatre campagnes d'observation.

Sur celles-ci, on distinguait des canons en fonte, des pièces de vaisselle en porcelaine, des poteries, des pièces apparemment en or et une partie de la proue du navire couverte d'algues et de coquillages.

-propriété de l'épave-

Depuis sa découvert en 2015 par des chercheurs et des membres de la force navale colombienne, la propriété du galion a fait l'objet de contestations. Certains désaccords pourraient cependant être en voie de résolution.

L'Espagne a revendiqué la propriété sur la base d'une convention de l'Unesco dont la Colombie n'est pas partie, et des indigènes boliviens ont affirmé que les richesses du navire avaient été prélevées sur leurs terres.


Le gouvernement du président Gustavo Petro, au pouvoir en Colombie depuis 2022, souhaite lui utiliser les seules ressources du pays pour récupérer l'épave et s'assurer que sa précieuse cargaison restera dans le pays.

Mais l'ambassadeur d'Espagne en Colombie, Joaquin de Aristegui, a fait savoir jeudi qu'il avait reçu des instructions pour proposer à la Colombie un "accord bilatéral" sur la protection de l'épave, sans plus de précision toutefois.

Depuis jeudi, il participe avec des représentants du peuple autochtone bolivien et des experts à un symposium sur les opérations d'extraction à venir.

Le ministre Correa assuré de son côté que les peuples indigènes de Bolivie s'étaient dit "prêts à collaborer" avec le gouvernement colombien dans cette affaire.

L'idée est "d'arrêter de considérer qu'il s'agit d'un trésor pour lequel nous devons nous battre comme si nous étions à l'époque coloniale", a-t-il souligné.

L'annonce de l'expédition à venir coïncide cependant avec une nouvelle controverse, un litige entre l'État colombien et la société américaine Sea Search Armada, basée aux Etats-Unis, devant la Cour permanente d'arbitrage des Nations unies.

L'entreprise, qui affirme avoir découvert l'ancien vaisseau en premier, il y a plus de 40 ans, revendique des droits sur la moitié du trésor, dont la valeur est estimée dans cette procédure à 20 milliards de dollars.

publié le 23 février à 17h09, AFP.

et une bataille de pirates en vue...
c'est vrai que 20 milliards cela peut être tentant.
Cela fait combien de baguettes de 2 x 6 ?

L'épave du SAN JOSE,non seulement met le Maxique et l'Espagne en "conflit" mais va mettre à l'eat des chercheurs de tous poils,ça promet pas mal de frictions.

A 600 m de profondeur ce n’est pas à la portée de n’importe qui .
Et nous avons les infos que l’on veut bien nous donner , la réalité à cette profondeur est sûrement bien différente.
20 milliards de dollars ne restent pas sans une stricte surveillance à mon avis .

Je vais m'entrainer dans la piscine cet été, pour y aller en apnée. 

Bon courage , à 600 m , 60 bars de pression il faut bien se préparer…

2023:

Le brise-glace Ermak est en feu au port de Saint-Pétersbourg.

Le Yermak a été construit dans un chantier naval finlandais.

C'est le navire jumeau du Krasin.

Tous deux exploités par la société de services de remorquage et de déglaçage Rosmoport.
Le Ermak était/est en train d'être démantelé pour obtenir des pièces de rechange afin de maintenir le Krasin opérationnel.

(Vasily Strugov, directeur général adjoint de Rosmorport)

Les médias russes avancent différentes raisons pour expliquer cet incendie. Certains écrivent que les ordures ont pris feu, tandis que d'autres affirment que l'incendie aurait pu se déclarer à cause de travaux de soudure.

Le cargo Rubymar est en train de sombrer lentement en Mer Rouge après avoir été attaqué par les Houthis.

Une pollution hydrocarbure est visible depuis l'espace.

De plus il contient 22000 tonnes d'engrais.



Le Rubymar, un vraquier chargé de 22 000 t d'engrais à destination du Maroc avait été endommagé le 19 février dans le golfe d'Aden lors d'une attaque aux missiles, revendiquée par les Houthis. C’est le dommage le plus important infligé à un navire commercial depuis que les Houthis ont commencé leurs attaques en novembre.
Le Rubymar, un vraquier de 32 200 tonnes, construit en 1997, battant pavillon du Belize, immatriculé au Royaume-Uni et géré par une société libanaise (GMZ Ship Management), avait été endommagé le 19 février dans le golfe d'Aden lors d'une attaque de missiles, revendiquée par les Houthis.

Le navire, qui transportait 29 000 t d'engrais à destination du Maroc, a été touché par le premier tir sur son flanc, provoquant une entrée d'eau dans la salle des machines et l'affaissement de sa poupe. Le deuxième missile a touché le pont mais sans causer de dégâts majeurs, selon le courtier en affrètement du navire, Blue Fleet.

Alors que les Houthis, qui ont revendiqué l'attaque, faisait part de dommages importants et d’un risque d’échouage, Roy Khoury, le directeur général de Blue Fleet, assurait de son côté que le navire était toujours à flot (le 22 février) et qu'il devait être remorqué jusqu'à Djibouti une fois la brèche dans la coque réparée.

« Il y a une petite fuite de carburant que nous allons tenter de colmater... ce qui permettra au navire d'être remorqué en toute sécurité, si possible jusqu'à Djeddah », a indiqué Roy Khoury.

L'équipage a été évacué, avant d'être rapatrié par avion.

Nappe de pétrole de près de 30 km

Le commandement central américain au Moyen-Orient (Centcom) a confirmé le 23 février, que le navire prenait lentement l'eau alors qu’une nappe de pétrole, de près de 29 km était en train de se répandre.

Le déversement d'engrais aggraverait la « catastrophe écologique », indique le Centcom dans son communiqué.

C’est le dommage le plus important infligé à un navire commercial depuis que les Houthis ont commencé leurs attaques en novembre. De façon incroyable, les attaques incessantes en mer Rouge de la faction houthie contre les navires marchands, pour manifester leur soutien au Hamas palestinien dans sa guerre contre Israël, n'ont jusqu'à présent provoqué aucun décès parmi les membres d'équipage ni causé de « désastre environnemental ».

Le gouvernement du Yémen, soutenu par l'Arabie saoudite, a demandé l'aide des Nations unies pour éviter une catastrophe écologique en raison du risque de déversement de la cargaison, a rapporté le Daily Telegraph.

Adeline Descamps

https://www.actu-transport-logistique.fr/journal-de-la-marine-marchande/mer-rouge-une-nappe-de-petrole-de-30-km-suite-a-lattaque-du-rubymar-par-deux-tirs-de-missiles-893055.php

Cherbourg. Un nouveau navire de guerre sort du chantier des CMN.

Navire de guerre spécialisé dans les opérations de débarquement, deuxième exemplaire construit par les CMN pour l'Angola, un LCT est en opération de transfert ce 29 février 2024.

Le transfert du navire de 750 tonnes, de 70 mètres de long et de 11 mètres de large, vers le port de Cherbourg-en-Cotentin (Manche) est prévu ce jeudi 29 février 2024, avant 7 heures. (Jean-Paul BARBIER)


Après la livraison d’un premier exemplaire durant l’été 2023, les CMN (Constructions mécaniques de Normandie) vont mettre à l’eau le second LCT 200-70 (Landing Craft Tank) destiné à l’Angola. Le transfert vers la darse des Mielles, au port de Cherbourg (Manche), est programmé ce jeudi 29 février 2024.

Une vingtaine de minutes.

Le navire hauturier de 750 tonnes, de 70 mètres de long et de 11 mètres de large, doit traverser le boulevard Félix-Amiot ; une opération qui prendra une vingtaine de minutes entre 5 heures et 7 heures du matin et qui fait l’objet d’un arrêté municipal.

https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/cherbourg-un-nouveau-navire-de-guerre-sort-du-chantier-des-cmn_60760367.html#:~:text=Apr%C3%A8s%20la%20livraison%20d'un,ce%20jeudi%2029%20f%C3%A9vrier%202024.