[GÉNÉRIQUE] Actualités Maritimes

Dagornson a écrit:

[…] après avoir fait un "photex" avec le Bush : .
Le Bush a croisé l'Amerigo Vespucci : ; )

… ou bien fait la course, plutôt ?
… au moteur…  

En fait, c'est un "classique", au moins depuis l'Enterprise (1963).


Impossible d'y échapper.

Mais, à ce moment-là, le Big-E y était allé un peu (trop) vite ! Et d'un peu trop près ! Il a dû fortement secouer le Vespucci (sous voiles).

Oui, il y a aussi cette rencontre:

et cette anecdote: 
https://www.curioctopus.fr/read/15516/en-1962-un-porte-avions-americain-croisa-l-amerigo-vespucci-et-fit-un-geste-qui-entra-dans-l-histoire

Dagornson a écrit:

[…] il y a aussi cette rencontre : et cette anecdote […]

L'article du dénommé "Baptiste" semble un peu romancer le dialogue (par signaux "Scott") cité dans l'anecdote.

curioctopus a écrit:

[…] fit un geste qui entra dans l'histoire […]
[l']Amerigo Vespucci, […] navire-école pour la formation des élèves officiels, […]
Lorsque les deux embarcations se rencontrèrent, l'USS Independence envoya un signal lumineux et demanda au voilier de s'identifier.[…]
L'Amerigo Vespucci révéla son identité et, en réponse, le porte-avions dit: "Vous êtes le plus beau navire du monde!". […]

Il est exact que les bâtiments de guerre qui se rencontrent échangent leurs indicatifs (par Scott).
Mais l'Independence n'a certainement pas découvert (ni été surpris par…) l'identification du voilier par cet échange.

curioctopus a écrit:

[…] Selon le Code de la navigation, les paquebots transatlantiques doivent toujours avoir la priorité sur les navires de plus petite taille… […]

Expression douteuse… ça dépend du contexte : navigation en chenal, manœuvre de port, opération spéciales, dragage, manœuvres avia, capacité restreinte de manœuvre…

curioctopus a écrit:

[…] mais USS International (et comme beaucoup d'autres navires) a décidé d'arrêter les moteurs et de céder la place au voilier italien, en signe de respect et d'appréciation pour […]

Donc le porte-avions est devenu (sous la plume de "Baptiste") un paquebot transatlantique, nommé "International" (et USS au lieu de SS) - propulsé par des moteurs (au lieu de machines ?) ; moteurs (ou machines) que l'on "arrête" (?) ; au lieu de simplement "stopper" le bâtiment.
D'ailleurs, le cliché montre qu'il n'en a rien été, et que l'Independence a poursuivi sa route, de conserve avec le voilier.
D'autant plus qu'il s'agissait, évidemment, d'un Photex entre la marine italienne et l'US Navy. Pas du tout improvisé.

En fait le texte semble être une traduction (plus ou moins automatique) d'un texte, probablement en anglais.
Édit, un peu plus tard : j'ai trouvé l'identification du rédacteur : Baptiste Levy, traducteur d'italien.
Pas forcément versé dans la culture marine.


Cela posé, le compliment adressé à l'Amerigo Vespucci par l'USS Independence est hautement vraisemblable, et correspond à la fois à une courtoisie de parfait bon aloi et à une admiration sincère.

Le caboteur HELGE a été lourdement endommagé et remorqué au large du Danemark, le 9 septembre.

Le caboteur battant pavillon néerlandais a été gravement endommagé après être entré en collision avec le  WILDCOSMOS vendredi matin par mauvais temps en mer du Nord près de Thorsminde.


Les navires naviguaient dans la même direction lorsque la collision s'est produite. Le HELGE ayant subi d'importantes avaries à l'arrière et le navire prenant l'eau, l'équipage évacue le navire dans un radeau de sauvetage.

Immédiatement après l'accident, la marine norvégienne et danoise sont intervenues.

Guard (DUBHE) a dépêché des navires sur place.


En fin d'après-midi, le DUBHE est arrivé avec le remorqueur SIGYN de Svitzer. Dans le même temps, des spécialistes du sauvetage ont été dépêchés par hélicoptère. "Les sauveteurs ont été déposés à bord du HELGE et après une première évaluation des avaries, ils parviennent à stabiliser le navire et à établir une liaison avec le remorqueur.

Le navire est arrivé en toute sécurité dans le port d'Esbjerg vers minuit." a expliqué Nikolaj Hviid, commandant de la Marine Home Guard à Ringkøbing

La marine russe subit un coup dur en mer Noire.

Ce matin RFN Pavel Derzhavin a dû être remorqué jusqu'au port ce matin, en raison de ce qui semble être des problèmes de propulsion.

Le Derzharvin est le seul  en service équipé de TOR.

Armement

1 × 76,2 mm AK-176 MA pistolet automatique à double usage [3]
Système Tor-M2KM SAM (ajouté aux unités actives en 2022) [4]
Cellules VLS avec système Kalibr-NK (proposé)
Système de défense aérienne 3S90M VLS (proposé)
Système de défense aérienne navale 3M47 Gibka (offert pour les propositions d'exportation)
2 mitrailleuses MTPU de 14,5 mm
DP-65 Système de lance-grenades automatique anti-saboteur à 10 canons
Système de lance-grenades anti-saboteur DP-64 à 2 canons
Une variété de conteneurs de modules, y compris des modules d'armes contenant des torpilles Paket-NK de 324 mm, [5] 3M24 et Kalibr-NK
Aéronefs transportés 1 x Ka-27 ou Ka-226




Plus de détails de classe ici:

https://en-m-wikipedia-org.translate.goog/wiki/Project_22160_patrol_ship?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

Le premier sous-marin nucléaire russe, le K-3 "Leninsky Komsomol" de la classe NOVEMBRE, est ré-assemblé pour devenir un navire-musée.







USSR Project 627 K-3 Leninsky Komsomol (November class SSN) (1958)



https://youtu.be/D2D7Emom1y8

Tout ça pour ça … 

Crise des sous-marins australiens : un an après l'échec français, l'Australie pourrait finalement faire machine arrière

En septembre 2021, l'Australie rompait le contrat portant sur 12 sous-marins signé avec la France en 2016. Pourtant, ces derniers jours, le gouvernement travailliste a confirmé que les chantiers navals américains et britanniques finalement préférés étaient dans l’incapacité de lui fournir les engins nucléaires.

Le "coup dans le dos" dénoncé par la France, il y a un an, a de plus en plus les allures d’un coup de bambou pour l’Australie. Dans la nuit du 15 au 16 septembre 2021, les Etats Unis, le Royaume Uni et l’Australie annonçaient leur union dans le cadre d’un pacte de défense baptisé Aukus. Une énorme déconvenue pour la France puisque la création de cette alliance s’est également traduite par la rupture d’un contrat avec l’Australie estimé à 56 milliards d'euros et portant sur la livraison de douze sous-marins conventionnels. Sauf que l’Australie, qui a préféré se doter en sous-marins à propulsion nucléaire, risque de devoir attendre très longtemps avant d’en voir la couleur et même de se retrouver, au tournant des années 2040, totalement dépourvue de sous marins, puisque sa flotte actuelle, sera à cette échéance mise au rebut.


Le gouvernement travailliste a en effet confirmé que les chantiers navals de ses alliés américains et britanniques étaient dans l’incapacité de lui fournir des sous marins nucléaires.

Quatre sous-marins français ?

Aussi pour éviter de se retrouver totalement à nu, l’Australie pourrait faire l’acquisition de sous-marins classiques. Et d’après la presse australienne, la France est sur les rangs. Lors de sa rencontre avec le Premier ministre Anthony Albanese, au mois de juillet, Emmanuel Macron lui aurait ainsi proposé de fournir quatre engins. Une information que ne dément pas Anne Genetet, députée Renaissance et secrétaire de la Commission Défense à l’Assemblée : "Il est normal que la France essaie de saisir une opportunité, car nous avons des compétences, des savoir-faire, des matériels de haute qualité. C’est quand même pas pour rien qu’on avait signé ce contrat avec l’Australie en 2019", précise-t-elle à franceinfo. La visite à la base navale de Brest début septembre 2022 du ministre des Armées, Sébastien Lecornu, avec son homologue australien à la Défense, donne d'ailleurs du poids à cette hypothèse.

Mais côté australien, la marine serait réticente à cette idée, car elle n’aurait tout simplement pas les ressources humaines nécessaires pour prendre en charge un nouveau type de submersible. L'affaire va encore se poursuivre : ce n'est qu'en mars 2023 que le ministre australien de la défense doit dévoiler sa stratégie complète concernant les sous-marins.

https://www.francetvinfo.fr/monde/asie/crise-des-sous-marins-australiens/crise-des-sous-marins-australiens-un-an-apres-l-echec-francais-l-australie-pourrait-finalement-faire-machine-arriere_5362240.html

Iceman29 a écrit:

Le premier sous-marin nucléaire russe, le K-3 "Leninsky Komsomol" de la classe NOVEMBRE, est ré-assemblé pour devenir un navire-musée.

ça c'est une bonne nouvelle, sa mise au point n'a pas été une mince affaire, il restera dans l'histoire notamment grâce à son périple au pôle nord... 

Iceman29 a écrit:

Mais côté australien, la marine serait réticente à cette idée, car elle n’aurait tout simplement pas les ressources humaines nécessaires pour prendre en charge un nouveau type de submersible.

Drôle d'argument.... ça ne leur posaient pas de problème pour les 12 conventionnels français initialement prévus, ni pour les 8 nuc qu'ils ne verront pas de sitôt donc, mais là ça coince pour seulement 4 unités !!!

J'espère qu'on va leur vendre les 4 au prix des 12 plutôt ! ( en tout cas ce ne sont pas des bâtiments sur catalogue, le prix à l'unité va forcément grimper sérieusement.... ).

Des sauveteurs coulent la poupe du naufrage de Gibraltar avant le gros temps.

16 septembre 2022.



En prévision du gros temps, les responsables de Gibraltar sont d'accord sur un plan visant à couler la partie arrière du vraquier OS 35 échoué au large des côtes de la ville.

Le plan pour un naufrage contrôlé de la poupe a été recommandé par l'équipe de sauvetage de Resolve comme le meilleur plan d'action pour minimiser les impacts environnementaux lors des gros temps attendus à Gibraltar dimanche et lundi.

L'OS 35 est actuellement divisé en deux sections ; la partie avant de 73 mètres de long qui est solidement plantée sur le fond marin et une partie arrière de 105 mètres qui reste à flot. Les deux sections sont toujours reliées par "de l'acier fissuré, plié et déformé", selon la dernière mise à jour de l'autorité portuaire de Gibraltar. Inutile de dire que l'intégrité structurelle du navire a complètement échoué.

En prévision des intempéries, les autorités de Gibraltar ont maintenant approuvé le plan de gros temps de Resolve, qui consiste à abaisser (c'est-à-dire couler) la section arrière de manière contrôlée afin de la stabiliser sur le fond marin. Bien que les risques de pollution ne puissent pas être entièrement éliminés, les sauveteurs pensent que c'est la meilleure option pour laisser l'épave exposée aux éléments telle qu'elle est. Cela pourrait entraîner la rupture de la section arrière, compliquant davantage l'effort de sauvetage.

Bien que tout le pétrole récupérable ait été retiré de l'épave, il est possible que des résidus de carburant et des débris soient rejetés dans l'environnement. Mais pour éviter cela autant que possible, les sauveteurs s'efforceront de retirer tous les objets flottants et lâches du navire et de sécuriser les écoutilles avant le naufrage. Ils entoureront également le navire avec un barrage pour contenir tout résidu d'huile libéré.

"Le plan proposé par Resolve pour stabiliser la section arrière sur le fond marin est la meilleure option disponible pour éviter d'autres dommages au navire et la pollution susceptible de se produire par gros temps", a déclaré le capitaine du port, John Ghio. « Cette opération contrôlée offre une opportunité d'atténuer les impacts environnementaux de la pollution et des débris flottants, que nous serions autrement incapables de contenir par gros temps. Le GPA et le ministère de l'Environnement, ainsi que nos agences partenaires, surveilleront le navire en permanence tout au long du gros temps afin de mobiliser toute opération de nettoyage aussi rapidement qu'il est sûr de le faire.

Avec l'arrivée du gros temps prévue ce week-end, l'opération a lieu vendredi (et pourrait se dérouler au moment où nous écrivons ceci).

Contexte de l'incident.

L' OS 35 battant pavillon de Tuvalu sortait du port de Gibraltar lorsqu'il est entré en collision avec le méthanier à vide Adam LNG dans la baie de Gibraltar le lundi 29 août. L' OS 35 a ensuite été ancré au large de la baie de Catalan, de l'autre côté de la péninsule ibérique, où il a partiellement coulé.

Avant la rupture en deux, les inspections d'arpentage ont confirmé une entaille au milieu du navire mesurant environ 10 mètres sur 4 mètres du côté tribord.

L' Adam LNG , immatriculé aux Îles Marshall, n'a subi que des dommages minimes. Aucun blessé n'a été signalé sur les deux navires.

https://gcaptain.com/salvors-to-sink-gibraltar-shipwrecks-stern-ahead-of-heavy-weather/

19 septembre 2022.

Le Sea Eagle, cargo général de 38 ans, a coulé dans le port d'Iskenderun pendant le chargement (..?) lorsqu'il a perdu sa stabilité.

IMO: 8410380
Nom: SEA EAGLE

Vessel Type - Generic: Cargo
Vessel Type - Detailed: General Cargo
État: Active
MMSI: 671211100
Indicatif d’Appel: 5VHQ3
Pavillon: Togo [TG]

Jauge brute: 3120
Summer DWT: 4281 t
Longueur Hors Tout x Largeur Hors Tout: 88.6 x 15.7 m
Année de Construction: 1984



https://www.youtube.com/watch?v=h3sjODqLz2A

Bonsoir Pascal,

C'est vraiment fâcheux pour ce bateau !

Il va y avoir du travail pour le redresser !

Bonne nuit.

Bien le bonjour 

je suis curieux d'en connaitre la cause

Y’a quelqu’un qui a mal fait son travail.. Plan de chargement, plan de ballastage? Erreurs sur les ballasts à vider..

Bon, navire togolais, chargement à l’africaine..

L’emblématique remorqueur Abeille Flandre va être déconstruit à Brest

Publié le 21 septembre 2022.



L’Abeille Flandre, emblématique remorqueur de la pointe bretonne, va être déconstruite sur le chantier de Navaleo, à Brest. Son arrivée est prévue dans les prochains jours.

C’est un navire emblématique de la Bretagne qui va disparaître. La société Abeilles International a annoncé, ce mercredi 21 septembre, la déconstruction de l’Abeille Flandre, à Brest, sur le chantier de Navaleo. Après 45 ans de service, le remorqueur, remplacé par l’Abeille Méditerranée depuis le 17 juin, quittera Toulon, son port d’attache, au cours de la semaine pour rallier la pointe bretonne.


« La déconstruction s’est révélée être la seule issue raisonnable en l’absence de projet mémoriel viable », a déclaré Samira Draoua, présidente des Abeilles International, dans un communiqué. « De par son histoire et ses actions d’assistance en haute mer, et en cohérence avec nos valeurs en termes de respect de l’environnement, le groupe Econocom, actionnaire unique des Abeilles International, et propriétaire de l’Abeille Flandre, a retenu à nouveau la société Navaleo à Brest pour assurer sa déconstruction. Un choix lié à la qualité des processus de recyclage et à la capacité à opérer en cale sèche. »

Comme l’Abeille Languedoc

Le choix du chantier Navaleo, filiale des Recycleurs bretons, confirme la position du port de Brest comme référence de la déconstruction navale, après avoir été choisi pour déconstruire l’Abeille Languedoc, sistership de l’Abeille Flandre, qui est arrivée début août dans la cité du Ponant après avoir veillé le long des côtes du Cotentin.

La suite ici: https://www.letelegramme.fr/economie/l-emblematique-remorqueur-abeille-flandre-va-etre-deconstruit-a-brest-21-09-2022-13183633.php

Je connais un ancien commandant en second de l'Abeille Flandre qui va être bien triste ! 
Jean

Bien le bonjour

encore du patrimoine qui part à la casse

La FREMM Provence accueillera les essais en mer du drone aérien VSR700.



C’est la frégate multi-missions Provence, l’une des FREMM de la Marine nationale basées à Toulon, qui accueillera les essais en mer du nouveau drone aérien VSR700 d’Airbus Helicopters, a-t-on appris de sources industrielles….

Mer et Marine https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-fremm-provence-accueillera-les-essais-en-mer-du-drone-aerien-vsr700

Un bateau exceptionnel arrive à Nice jeudi 29 septembre prochain. C'est le plus grand voilier en bois du monde et il sera visitable.



Le jeudi 29 septembre prochain à 11h00, le plus grand voilier en bois de haute mer du monde débarque à Nice. Il s'agit du Götheborg, un bateau suédois. Il accostera au port Lympia à Nice, quai Riboty. Cette réplique d’un navire du XVIIIe siècle entame une traversée vers l’Asie.

Le voilier sera ouvert au grand public à chaque escale, notamment à Nice. Vous pourrez en profiter du 29 septembre au 4 octobre.

Prix des billets : 15 euros pour les adultes, 7,50 pour les enfants.

https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/le-plus-grand-voilier-en-bois-du-monde-debarque-a-nice-1663942130

Götheborg III à Brest en 2012 pour les fêtes maritimes.
Équipage20 membres - jusqu’à 60 cadets
Longueur 47,54 m
Maître-bau 10,84 m
Tirant d'eau 4,33 m
Tirant d'air 47 m
Déplacement 1232 t
Lest 292 t de plomb
Hauteur de mât 47 m
Voilure 1964 m²

Photo personnelle:

Bonjour Pascal,
étant une quiche en matière de marine à voile, je me permet une question peut être idiote. C'est quel 
type de bateau? frégate,  goélette, ...?

C’est un trois mâts, pas vraiment armé, plutôt destiné à la découverte et au transport de denrées.

Götheborg of Sweden est une réplique à voile du Suédois East Indiaman Götheborg I , lancé en 1738 (à ne pas confondre avec le plus grand Götheborg II construit quelques décennies plus tard). Tous les marins ont survécu [6] lorsque le navire d'origine a coulé au large de Göteborg , en Suède, le 12 septembre 1745, alors qu'il s'approchait du port à son retour d'un troisième voyage en Chine . La construction de la réplique a commencé en 1995, avec la coque lancée en 2003 et le gréement entièrement testé pour la première fois en 2005. Une grande partie du temps a été consacrée à la recherche de la manière de reconstruire la réplique. En 2008, Götheborg a terminé le premier tour de la mer Baltique .C'est le plus grand voilier en bois opérationnel au monde.

Compagnie suédoise des Indes orientales
Éditer

Article principal: Compagnie suédoise des Indes orientales
La Compagnie suédoise des Indes orientales a été créée le 14 juin 1731 pour faire du commerce en Asie de l'Est . La société a suivi les compagnies portugaise , néerlandaise , danoise , française et anglaise des Indes orientales. Située à Göteborg, la société a obtenu un monopole de 15 ans sur le commerce de l'Extrême-Orient, échangeant du bois , du goudron , du fer et du cuivre suédois contre du thé , de la porcelaine et de la soie . [dix]

La compagnie a existé pendant 82 ans et ses navires ont effectué 131 voyages en utilisant 37 navires différents. Même si l'entreprise a finalement fait faillite, elle a réalisé d'énormes bénéfices pendant la plupart de ses années de fonctionnement et a influencé l' histoire de la Suède de plusieurs manières.

Navire d'origine

Götheborg a été construit au chantier naval Terra Nova [ sv ] à Stockholm et lancé en 1738. Selon l'écrivain Björn Ahlander, il n'a fallu qu'environ un an et demi pour construire un navire de cette taille dans les années 1700. Il a été construit dans la capitale suédoise et nommé Götheborg parce que la Compagnie suédoise des Indes orientales résidait à Göteborg et que toutes les expéditions commençaient et se terminaient dans ce port. Le navire avait un tonnage équivalent à environ 830 t (1 830 000 lb). Lors de son voyage inaugural en 1739, le navire transportait 30 canons et un équipage initial de 144.

Le navire a fait trois voyages en Chine et en 1745, il a coulé en route vers le port de Göteborg. Après 30 mois en mer, et avec seulement 900 m (3000 pieds) à parcourir avant que le navire n'atteigne son poste d'amarrage, il s'est éventré sur le Knipla Börö, un rocher bien connu. Bien que la façon dont cela pourrait se produire reste un mystère, les théories abondent. Le navire est resté échoué sur le rocher tandis qu'une grande partie de la cargaison, composée de thé, de porcelaine, d'épices et de soie, a été récupérée. Le navire était clairement visible au-dessus de la surface de l'eau pendant de nombreuses années, mais avec le temps, les restes ont coulé au fond.

https://en.m.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6theborg_(ship)

Merci Pascal pour ces précisions.
Bien joli bateau !
Philippe

De rien.

Toulon : un feu se déclare à bord du sous-marin nucléaire d’attaque Perle

La combustion a été détectée ce lundi par la Marine nationale et a pu être circonscrit au local. Aucun risque radiologique n’est à craindre.

Le sous-marin Perle serait-il maudit ? Une centaine de pompiers ont réussi à maîtriser lundi un sinistre intervenu à bord, actuellement en travaux à la base navale de Toulon, indique la préfecture maritime, précisant que tout risque radioactif est écarté. Ravagé par un spectaculaire incendie en juin 2020 alors qu’il était en maintenance à Toulon, le Perle, avait dû subir de lourdes réparations à Cherbourg. Il avait ensuite regagné Toulon en octobre 2021 pour la finalisation des travaux intérieurs notamment.

Lundi, vers 12h42, une combustion « a priori de matériaux isolants » a été détectée « au niveau d’un local destiné au stockage de vivres » à l’avant-du sous-marin, précise le porte-parole de la préfecture maritime Pierre-Louis Josselin.

Une quarantaine de marins-pompiers de la base navale renforcés par 52 marins-pompiers de Marseille se sont alors attaqués à ces « points chauds, c’est-à-dire une combustion sans flammes », en utilisant de l’eau pour faire baisser la température, a-t-il ajouté. « Il n’y a eu aucun risque radioactif, le sous-marin étant en arrêt froid », c’est-à-dire chargé en combustible nucléaire dans sa partie arrière, « mais le réacteur à l’arrêt », a encore précisé ce porte-parole indiquant que des prélèvements ont été effectués pour s’assurer de l’absence de risques.

Une remise en état stratégique
Au bout de plusieurs heures, le « sinistre a été maîtrisé », mais fera l’objet d’une observation attentive cette nuit a affirmé le capitaine de frégate Pierre-Louis Josselin. Si la préfecture maritime avait d’abord évoqué un « incendie » dans un communiqué, il a préféré parler de « combustion sans flammes ».

Les causes du sinistre n’ont pas été déterminées à ce stade, a-t-il ajouté alors que Naval Group mène les travaux sur ce bâtiment militaire. « Ce sinistre n’était pas comparable à celui de 2020, qui était un feu industriel, avec des flammes importantes », selon le porte-parole de la préfecture maritime. Il n’a pas pu préciser s’il y aurait des conséquences sur le retour dans le cycle opérationnel du sous-marin, prévu initialement au premier semestre 2023.

La remise en état du Perle est un élément important de la stratégie de la marine qui se fonde sur la présence de six sous-marins nucléaires d’attaque dont l’une des missions est d’appuyer les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) mais aussi d’escorter le porte-avions Charles-de-Gaulle, éléments clefs de la dissuasion française.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/toulon-un-feu-se-declare-a-bord-du-sous-marin-nucleaire-dattaque-perle-26-09-2022-4NMKMBELXFBTPA7OJGDCC3CL64.php#xtor=AD-1481423553