Re,
Voilà quelques avancées sur le gréement : Le mât de misaine est quasiment achevé . Il ne reste à installer que les bras, les écoutes et amures des basses voiles, qui m'empêcheraient de passer mes grosses pattes sur l'intérieur de la coque .
Comme je représente le navire sans voiles, les vergues hautes sont descendues au niveau des chouquets et les bouquets de poulies du coin bas des basses voiles sont amarrés sur le pendeur de palan de bout de vergue, et les poulies d'itague des bras pendouillent au bout des vergues !!!. Ca donne évidemment un air bizarre au gréement, les drisses étant descendues au maximum ...
Voilà une vue d'ensemble du mât de misaine :
comme j'ai pris les photos sans mettre un fond blanc derrière, ça va être un peu bordélique !!!
Mais il m'aurait fallu un drap tout entier ... alors ... il y a certaines photos qui sont aussi un peu floues ...
Pour commencer, la vergue du petit perroquet :
Avec sa drisse :
Puis la vergue de petit hunier :
Et le racage de la vergue ( on voit aussi le petit racage de la draille de la voile d'étai) :
Et la poulie de drisse :
Enfin, la vergue de misaine, avec son bouquet de poulies à chaque bout :
Avec sa suspente : j'ai longtemps hésité à mettre les palans de drisse, mais comme on les enlevait quand la vergue était montée et que sur le plan ils ne figurent pas, je ne les ai pas mis .
Les drosses qui remplacent le racage pour les basses voiles et qui permettent de rapprocher ou d'éloigner la vergue du mât :
Les palans de roulis empêchent la vergue (très lourde, de se balancer bord sur bord par gros temps )
Tout ça vient s'arrimer sur le pont, les balancines :
Les drisses :
Voilà où j'en suis ...
Je vais maintenant me pencher sur le grand mât (je vais plutôt me mettre sur la pointe des pieds !!!)
Je vous tiendrai au courant de l'avancée ...
A+
XX
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Il existe deux choses infinies : l'univers et la bêtise humaine, et encore, pour l'univers, on n'en est pas sûr ... (Albert Einstein )
Amicalement,
XX