Quizz bateaux & histoire navale (2)

Le HMS Acasta (H 09)Lt.Cdr. Charles Eric Glasfurd, RN destroyer britanique, est coulé en essayant de défendre le HMS Glorious.

Le dernier ,jo,le dernier ,lAcasta a coulé en 1940 en fesant face au Scharnhorst et au Gneisenau....Il fut loin d etre le dernier a avoir coulé...

Bon je vous laisse à vos reflexions,je vais au lit,demain rude journée...
On verra si il y a la bonne réponse...

orionv a écrit:

Allez ,il n y a eu qu un seul survivant......

Et c'était toi ? Dommage !!!

Compliqué ta question !

Si l'on considère le 2 septembre 1945 comme la fin de la ww2 ,
c'est techniquement le Motor torpedo boat MTB No.261 (32t), coulé dans le port d'Alexandrie (Alexandra ...ahh comme dirait cloclo) le 26 aout 1945.

Si l'on considère la fin de la guerre en Europe, avec la date du 9 mai 1945, avec un critère de >1000 tonnes , c'est la Frégate GOODALL (1,150 tonnes) torpillée par le U968 au large de la prequ'ile de KOla au nord de la Russie, le 9 avril 1945.
La frégate Goodall, classe Captain, fut construite à Boston aux EU, mise en service en octobre 1943, commandée par LtCdr J.Fulton.

encoro loupé . Les frégates de cette classe sont d origine us pas anglaise . Bon allez je vous donnes la réponse c est l hms bluebell très célèbre corvette de la classe flower coulé le 17 avril 45 . . . Qui veut prend la main , j aurai pas trop le temps de jouer aujourdhui . . .

Pas d'accord le HMS Goodall est une frégate de la Royal navy, bien que construite aux USA. Tu ne l'avias pas précisé dans ta question.
Et tu as tort car alors c'est le MTB que je t'ai renseigné.
Un peu de bonne foi stp ce quand ce n'est pas un Français qui gagne. Merci

didier a écrit:

Un peu de bonne foi stp ce quand ce n'est pas un Français qui gagne. Merci

On devrait interdire le sous-marinier belge de venir sur ce quizz !
Il est irrévérencieux et ose contester les modos !
C'est un scandale !

C'est trop injuste. C'est comme dans mon escadron de hussards, c'est tjs les franchouillards qui ont les meilleures missions ! Je pense à déserter , je vais aller chez Wellington si cela continue.

Voyons Didier mon hussard belge préféré on ne conteste pas les décisions d'un modérateur marseillais, vu qu'il passe la main pour cause de boulot( et oui un marseillais ça travaille aussi) pose nous une question

ok laissez moi un peu de temps alors.

Le Hussard submersible susceptible

Voilà la question : quelle est la contribution au Débarquement de Normandie d'un Belge qui plus tard devait croiser Jacques Brel ?

Il a débarqué avec les commandos français

Allez ! je ne te blague pas cette fois-là !
Un Belge de la brigade "Piron" ?

PS : Non, Pascal, ils étaient en retard, occupés à manger des moules-frites !

Et non ni pascal ni Christian encasqué n'ont raison ! pas les commandos kieffer
ni la brigade Piron !

C'est en rapport avec la méteo

hello

Hugo van Kuyck : ... Il entreprend de redessiner les cartes de côtes de Normandie

Salut Jo tu peux expliquer plus ?

au début de 1944, personne, du plus haut commandement des forces alliées au simple fantassin, n'avait songé à ce détail peut-être secondaire dans la stratégie globale, mais essentiel, celui du passage des navires de débarquement à la terre ferme.

Le génie de Van Kuyck sera de s'intéresser à ce qui n'était pratiquement alors qu'un no man's land. Et pour cause: d'un côté, les hydrographes avaient parfaitement fait leur boulot en dessinant les zones marines. Et leurs collègues géographes en avaient fait de même pour la terre ferme. Vous avez dit ferme? En plein dans le mille puisque, entre les deux, il y a l'estran qui avance et recule depuis la nuit des temps en fonction des marées. Le «hic» est que ni les hydrographes ni les géographes n'en avaient jamais tenu compte dans l'établissement des courbes de niveau et des cotes de profondeur. Inouï: un quart de siècle avant que l'homme ne posât son pied sur la Lune, il restait des «terres inconnues» aux portes même de la bonne vieille Europe!

Évidemment, vu sous l'angle théorique, cela n'empêchait pas les scientifiques de dormir, mais ce n'était pas la même chose pour les stratèges guerriers. Mine de rien, si le simple estivant a parfois les pires difficultés à maintenir pied sur l'estran, que dire alors du soldat avec son lourd barda qui peut, à tout moment, s'enfoncer et s'immobiliser sous le regard abasourdi de son adversaire?

Le major Van Kuyck réfléchissait depuis longtemps à ce problème et s'en ouvrit à ses chefs. Sa proposition monta jusque dans les plus hautes sphères de l'armée et, assez étonnamment, elle fut acceptée sans restrictions. Deux mois plus tard, en mars 1944, le génial Anversois était convoqué devant ses supérieurs avec ses cartes. Ce 23 mars-là aussi, le débarquement prenait une forme décisive...

Pour établir les cartes du débarquement, rien ne fut laissé au hasard. Afin de bien déceler les replis des plages normandes, deux escadrilles britanniques furent chargées uniquement de photographier... toutes les côtes du Danemark jusqu'à l'Espagne, question de ne pas dévoiler leurs batteries à l'ennemi, si, par malheur, elles se faisaient intercepter en vol.

De toute façon, le matériel recueilli resta utile, ne fût-ce que pour perfectionner les techniques de l'époque. Et les leçons de l'Atlantique serviraient aussi sur le Pacifique.

À partir de ces photographies que l'on pouvait parfaitement identifier dans le temps, le major Van Kuyck allait tracer sur la carte terrestre, parallèlement à la plage mais aussi à quelque distance dans les terres, une ligne de base. À partir de celle-ci, il découpa la terre, la plage et la mer en tranches avec autant de profils, prévus pour toutes les situations.

Ainsi, rien que pour Omaha Beach et pour Utah Beach, on tint à jour vingt-quatre profils jusqu'aux dernières heures qui précédèrent le débarquement. Toutes ces prévisions furent reproduites sur papier millimétré, à une échelle qui avait exagéré les proportions, question de les rendre plus compréhensibles par les troupes. On y trouvait aussi à la fois les profondeurs marines et les hauteurs terrestres. Banal? Du tout, car il fallait concilier les «pieds» des cartes anglo-saxonnes avec les «mètres» des cartes continentales. Notre hydro-géographe constata à cette occasion que les Amirautés n'avaient pas toujours eu les mêmes références de base!

Le major Van Kuyck poussa jusqu'à l'extrême son souci du détail, ce qui fit que les chefs des troupes d'assaut du débarquement disposaient de graphiques plus que fiables qui leur donnaient heure par heure l'évolution des marées. Ce qui avait été calculé pour les hommes, le fut aussi pour le matériel. Et c'est ainsi que les barges et les navires purent échouer au moment le plus idoine pour être immédiatement opérationnels. L'exploit de Van Kuyck paraît encore plus extraordinaire si on veut bien se rendre compte que tous ces calculs furent réalisés en l'espace de six semaines! L'US Army fera imprimer des milliers d'exemplaires de ses prévisions avec, suprême honneur, une référence directe à leur auteur. Ce qui était exceptionnel jusqu'alors dans une armée! Jamais, le major redevenu architecte ne s'en glorifiera, mais l'histoire ne pourra jamais oublier que si le D-Day se passa comme prévu, on le dut à un gaillard d'Anvers à l'audace sans limites. Un homme qui, au soir d'une vie exceptionnelle, allait vendre son second voilier à un autre homme hors du commun, Jacques Brel, en lançant qu'il serait en de bonnes mains...

CHRISTIAN LAPORTE

Très bien Jo . Bien sur à toi la main, mais avant une photo de cet homme génial :



Comme tu le dis il avait avec son équipe calculé pour chaque type de bateau du Débarquement jsuque quelle distance de la plage le barreur pouvait avancer en fonction du lieu , du jour et de l'heure, sans risque de s'ensabler.

Il était Belge se retrouva bloqué aux USA à la Déclaration de la guerre et entra dans les forces armées américaines où il termina la guerre comme major !



la Belgique dans sa "grande" reconnaissance lui octroya une humiliation en le nommant "sergent d'honneur" !
Mais ce grand homme était socialiste et franc- maçon et peut-être certains n'aimaient pas cela !

IL était architecte naval et architecte "tout court" . j'ai travaillé pendant13 ans dans
cet immeuble de bureaux le 1er building de Bruxelles qui était la "patte" du style van Kuyck



Dans les années 70 il voulait revendre le navire qu'il avait dessiné
l'ASKOY II.



Un acheteur se présenta et le lui acheta car il voulait aller aux Marquises, c'était ... Jacques Brel.

Voilà quelques mots trop courts pour cet homme oublié et d'abord par son propre pays, HUGO VAN KUYCK (prononcez VANNE K-OEIL-K).

Merci de nous avoir fait connaitre cet homme exceptionel

hello

Question
Il a participé au "Débarquement de juin 1944" le seul allié survivant qui a pu revenir pour les cérémonies du cinquantième anniversaire. Il est maintenant musée

Qui est il?

encore un super bac a sable

Une barge de débarquement

lol

mais non hein un gros bateau