Cotre corsaire Le Renard [Artesania Latina 1/50°] de jfpierre (chantier)

Bonjour,
On ne présente plus le Renard, dont la maquette fait déjà l’objet de nombreux sujets sur le forum, avec plusieurs versions tout à fait remarquables qui m’ont donné l’envie de m’y coller à mon tour.
Comme beaucoup, je vais utiliser comme base le kit proposé par Artesiana Latina. Le bois semble de bonne qualité ainsi que les éléments d’accastillage. Le kit comporte des instructions de montage sur un CD-ROM, avec de très nombreuses photos. Mais pas de plan … C’est sans doute moins cher mais c’est quand même dommage.
Je me suis donc procuré la liasse de plans édités par l’association cotre corsaire « Le Renard » à l’origine de la construction de la réplique. Une réédition de ces plans serait la bienvenue pour disposer de meilleures copies mais ils semblent complets, on devrait y arriver !
Accessoirement je dispose également de la monographie du cotre de 14 caronades 1815 et de celle du lougre corsaire de 8 canons Le Coureur, publiées par l’AAMM.
Armé de tout cela, me voici prêt. J’ouvre donc sans attendre mon journal de construction.
Et je remercie par avance les membres du forum intéressés par le sujet pour toute l’aide qu’ils voudront bien m’apporter !

C’est parti avec immédiatement des modifications du kit.

Je commence par percer l’arête centrale à 3 mm pour y loger 2 tubes de laiton.
Des renforts sont collés de chaque côté fin de garantir la rigidité de la pièce.
Ces tubes recevront des tiges d’acier qui supporteront le modèle sur son chantier puis en présentation.
   
Le squelette de la maquette (couples, arête centrale, quille …) est prédécoupé dans une feuille de CTP de 3 mm.
C'est très précis mais vu les plans de la réplique, il faudrait plutôt 5 mm.
Pour augmenter l’épaisseur de l’étrave, la quille et l’étambot, je les recouvre donc de placage de 1 mm de chaque côté.
A ce stade, les 3 pièces restent amovibles, juste maintenues par de petits pitons métalliques.

Une première photo de ce qui sera, je l’espère, la maquette du Renard.



Pour la suite, je vais m'intéresser à la préparation du pont.

Bien à vous, JF

Bonsoir,

Comme prévu après quelques jours de travail, petite suite avec le pont.

Le kit prévoit des lames droites de 4 mm et d’une épaisseur de 0,5 mm. Mais le pont de la réplique est fait de lames courbes, plus larges au niveau du maître couple et s’effilant vers la poupe et vers la proue. Ce serait dommage de faire l’impasse sur cette particularité.

Mais je ne sais pas cintrer à plat des lames de 0,5 mm d’épaisseur.
Je vais donc en utiliser d’autres, de 1,5 mm, qui, elles, se cintrent très bien.

J’ai commencé par tracer sur la pièce de CTP du kit le calepinage des lames.
J’ai d‘abord repéré et tracé le maître couple, la largeur du pont y est de 113 mm.
La largeur d’une lame étant de 4 mm, il faudra 113 : 4 = 28 lames, soit 14 de chaque côté de l’axe du pont.
J’ai ensuite repéré et tracé, vers la proue et vers la poupe, les endroits où ces lames devront avoir une largeur de :
- 3,5 mm, soit une largeur de pont de 28 x 3,5 = 98 mm,
- 3 mm, soit une largeur de pont de 28 x 3 = 74 mm,
- 2 mm, soit une largeur de pont de 28 x 2 = 56 mm.

En reliant tous les points ainsi obtenus, on parvient à un assez bon tracé, cf. la photo suivante.

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Je peux donc commencer la fabrication et la pose des lames.
La pièce de CTP est maintenue sur une planche en balsa par des épingles.
Chaque lame est effilée conformément au calepinage.
Les champs sont ensuite noircis au marqueur pour simuler le calfatage.
La lame est collée à la colle à bois à prise rapide et maintenue en forme par des épingles (d’où l’utilité de la planche de balsa). Le bois s’est montré suffisamment flexible pour ne pas avoir besoin d’être détrempé au préalable ; ça accélère un peu les choses, même si c’est plus long à poser que des lames droites.


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Après ces premières lames, petite séance de raclage, avec une grosse lame de cutter, pour évaluer le résultat final.

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Tout va bien, il reste à continuer : effilage, collage, raclage toutes les 5 ou 6 lames pour varier les plaisirs.
Découpe des ouvertures et enfin ponçage de la périphérie jusqu’au tracé de la pièce de CTP.
Et voici le pont presque terminé, le calfatage est bien visible.
Donc, content du résultat malgré une pétouille sur l'avant ; elle devrait passer inaperçue lorsque le pont sera garni de ses équipements.
Enfin, je ne ferai pas de cloutage puisque celui-ci n’apparaît sur le pont de la réplique.

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La suite sera en principe le montage des couples sur la quille et la pose des virures de bordés.
Un choix qui me reste à faire : coller le pont en place avant ou après ??? Si vous avez un avis, je suis preneur !


Bien à vous,

Bonjour,

Bravo et félicitations pour le résultats du pont (cela donne envie de bien suivre la suite de votre chantier)
Quel bois utilisez vous pour les lattes de pont?
J'ai admiré votre La Recouvrance, j'en ai une en cours (La Recouvrance de chrtib)

A la question de poser le pont avant ou après le bordage...
Les couples sont pleins (CP découpé) il n'y a pas de risque de déformation de la coque au cours de la pose du bordé, 
pour mes chantiers, les couples ne sont pas pleins mais ils sont renforcés en haut par des barrots de pont. le pont (fait comme vous, avec latte collées sur panneau CP) est amovible.
j'aime garder l'accès à tout l'intérieur de la coque avant de "fermer"
la raison principale c'est que je mets une bonne couche de résine à l'intérieur, cela stabilise la coque dans le temps et lors du ponçage du bordé, évite une plasticité (par manque de rigidité la zone entre couple et moins poncée) ... on a alors des vagues) mais cela dépend aussi de la taille du modèle, de l'écart entre couples et de l'épaisseur des latte du bordé.

bons vents 
christophe (chrtib)

Bonjour,

Christophe, le bois utilisé pour le pont est tout bêtement du ramin. Le raclage (plutôt que le ponçage) donne de bons résultats, le bois est presque brillant et pas du tout encrassé.

Et merci pour la Recouvrance, je suis allé voir la votre. Bravo, au 1/20, c'est quelque chose !.

Merci aussi pour cet avis argumenté.
Commencer par le collage du pont a l'avantage de faciliter sa mise en forme sur les couples, mais c'est vrai que l'accès à l'intérieur n'est plus possible à la fin du bordage. Bon, ici les couples sont rigides et pas très écartés, les virures de bordé font 2 mm d'épaisseur (ce qui ne va pas faciliter leur mise en forme). Je vais voir ... Je dois aussi retoucher le tableau arrière du kit qui présente un assez gros défaut.

Bien à vous,

Bonjour Jean Francois

Moi je m'installe pour voir ce beau chantier

@+Michel  

bonjour,

je m'installe aussi. 

Les ponts à l'époque étaient comme ça.
C'est vrai que l'on voit rien de la fixation des lattes sur la réplique meme de près.. je me demande quelle technique ils ont utilisés ?

Bonsoir,

Yoann gui a écrit:

Les ponts à l'époque étaient comme ça. C'est vrai que l'on voit rien de la fixation des lattes sur la réplique meme de près..  je me demande quelle technique ils ont utilisés ?

Je me demande aussi. Sur toutes les photos que j'ai vues, on ne voit effectivement aucune trace du cloutage ni des tampons de masquage utilisés habituellement. Par exemple (photos trouvées sur Internet) :


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Comme je construis une maquette de la "réplique" du Renard, pas de problème pour ma part, je reproduis au mieux ce que je vois.
Par contre je vais devoir ajouter des petites choses, notamment une hélice


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Bien à vous,

A si .. sur la première photo c'est des tappes de bois, et apparemment 3 par latte pleine

Bien observé Yoann ! On a l'explication.
Elles sont si peu visibles qu'au 1/50 je crois qu'il vaut mieux ne rien faire.

Je vois que Yoann a toujours ses yeux de lynx et un sens de l'observation hors-pair

Bonsoir,

Petite suite avec le collage des couples. Rien de compliqué, tout s'ajuste bien ; il suffit de soigner les équerrages. J'ai ajouté des entretoises entre les couples pour rigidifier la structure.
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Un gros plan sur la structure arrière ; là aussi tout s'ajuste correctement.
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Et un autre du logement du pied de grand-mât. Très pratique et bien ajustée, la quête du mat semble bien respectée. Sur la photo, on distingue également un des deux tubes de laiton qui traversent la quille et la tige d’acier associée.

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A l’avant j’ai collé 2 pièces de balsa (je n’ai pas lésiné sur la matière !) pour former les "apôtres" qui faciliteront la pose des virures de bordé sur la proue.

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Avec pas mal de copeaux et de poussière (le balsa n'est pas très agréable à travailler), les apôtres sont mis en forme.

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Et c'est tout pour cette fois-ci !
Bien à vous

Bonsoir,

Pour aujourd'hui, le collage du pont (qui sera donc collé avant la pose des virures de bordé ).
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Les entretoises aident au bon placage du pont sur la partie supérieure des couples.
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Comme le montre la photo ci-dessus, certains couples ont souffert de l'équerrage : le CTP s'est un peu écaillé.

Après séchage, on enchaîne avec le placage de la partie basse du tableau arrière, celui-ci devant être réalisé avant le pose du bordé et non après comme l'indique la notice AL.
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Bien à vous,

Bonjour, voici la suite de la construction de la coque du Renard

Tout d'abord la mise en forme de la partie basse du tableau arrière, qui en avait bien besoin .
En partie haute, la pièce n° 22 du kit doit être reprise pour bien s’adapter à la décoration en photodécoupe qui viendra plus tard.
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Et on passe au bordage proprement dit.

Les lames fournies dans le kit étant plus courtes que la coque, il est nécessaire de les rabouter. Un petit morceau de latte collé sur la face intérieure, entre deux couples, permet de le faire proprement. Ces raccords seront tous situés dans la partie centrale de la coque, là où la courbure est la plus faible.

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La première virure est en place. Son positionnement à quelques mm sous le pont doit faire l’objet de toutes les attentions : c’est elle qui supportera le pavois, dont les sabords doivent être à la bonne hauteur pour le centrage des caronades. C’est pour beaucoup plus tard bien entendu mais c’est maintenant que ça se joue !

Le nombre de lames nécessaires est déterminé au maître couple ; il en faudra 16 de chaque côté. Le brochetage de chaque lame est ensuite calculé au niveau de chaque couple et les lames sont effilées en conséquence.

Pour cintrer les lames, j’utilise une bouilloire (réservée à cet usage !). Un petit passage dans l’eau bien chaude et hop, je met en forme sur la coque. La zone arrière ne pose pas de difficulté, l'avant est un peu plus délicat, il faut vriller les lames sans les casser. Collage à la colle à bois sur toute la longueur de la lame. Pendant le séchage, les lames sont maintenues par des pinces diverses et des épingles munies d’une petite plaquette en CTP.

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On borde alternativement de chaque côté pour éviter de gauchir la quille. Compte-tenu du temps de séchage de la colle, c’est assez long ; il faut bien prendre son temps …

Après la pose de quelques lames, un premier « raclage » permet de vérifier que tout se passe bien.
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Pour ceux qui ne connaîtraient pas ces outils, voici des racloirs d’ébéniste.  Il en existe de plusieurs formes, droites ou arrondies. C’est beaucoup plus précis que le papier à poncer pour effacer les « marches d’escalier » des virures et ça n’encrasse pas le bois.

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Le travail se poursuit et la coque se ferme progressivement. Comme l'utilisation des pinces n'est plus possible, de petits morceaux de bois aident au bon placage de la virure sur la précédente.

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Et c’est la fin. Pour bien négocier la forme du tableau arrière, j’ai un peu trop effilé les virures. Un petit sifflet sera donc nécessaire pour terminer le bordage.

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S’en suit un assez long travail de raclage et de ponçage. Fastidieux, poussiéreux mais inévitable …

On passe à la mise en place des pavois selon le principe décrit précédemment. Leur formage est un peu délicat : ils ont tendance à se déformer au niveau du premier sabord avant, qui constitue un point faible dans cette zone où la courbure est la plus forte.

Leur doublage est plus facile. On contreperce alors les sabords et les trous de passage des avirons.

Réalisation des préceintes avec deux petites moulures faites au tarabiscot dans des lames de noyer.

Les plats-bords  fournis dans le kit ne sont pas assez larges, il y a lieu des les épaissir en ajoutant une lame de bois de chaque côté et en ponçant l’ensemble ensuite. Une fine lame de noyer est placée sous le plat-bord.

Mise en place de l’étrave puis de la quille, l'étambot sera pour plus tard lorsque j'aurai reçu l'hélice.

Et un tout petit peu de pâte à bois pour fignoler le calfatage, mais très peu, ouf !

Voici quelques photos de la coque à ce stade de la construction.







Je vais pouvoir passer à la réalisation des équipements. A suivre donc ...
Bien à vous.

Bonjour 
Superbe travail!!!
Je retiens les racloires d'ébéniste... j'utilise mes anciennes lames de cutter ... 
je vais voir ce point ..
Petite question ...
pour le la continuité des virures ... en général, dans mon cas je fais un recouvrement en biseau dans l'épaisseur et au niveau d'un couple ...
cela ne semble pas être le cas pour ce Renard


Bons vents 

christophe (chrtib)

Merci Christophe.

ATFU, mes racloirs viennent d'ici :
https://www.amazon.fr/DS-Space-ACCOCO-Racloir-Menuisier-Paquets/dp/B078ZVDVDT/ref=sr_1_1_sspa?keywords=racloir+menuisier&qid=1686040178&s=hi&sr=1-1-spons&sp_csd=d2lkZ2V0TmFtZT1zcF9hdGY&psc=1

Pour le raccordement des virures, on peut en effet procéder de plusieurs manières ; celle-ci (voir la deuxième photo du post précédent) est assez pratique, on peut même préparer les lames à l'avance mais attention dans ce cas lors du passage dans l'eau chaude !

Bien à toi.

Bonjour, la suite des travaux.

Petit préambule : le Renard est une "réplique" d'un ancien voilier, mais comporte de nombreuses modifications plus ou moins apparentes que je vais m'appliquer à respecter sur ce modèle.

Ainsi, il est motorisé. Ce qui nécessite une adaptation de l'étambot et du gouvernail et l'installation d'une hélice. Voilà qui est fait .
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Passons ensuite aux différents équipements qui garnissent le pont. Ils sont nombreux.
Une bonne documentation photo est nécessaire pour coller à la réalité du vrai bateau : il y a lieu de modifier voire de refaire une partie des pièces fournies dans le kit.

Vers l'avant. Notez les aérateurs (fournis dans le kit), également présents à l'arrière, qui ne sont évidemment pas de l'époque de Surcouf. A ce stade, il manque le guindeau (électrique) tout à l'avant.

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Au niveau du pied de mât

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Et vers l'arrière (la face avant de l'armoire aux instruments est à terminer)

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Deux vues d'ensemble pour conclure cette étape.




L'ensemble prend tournure .
La suite s'annonce un peu chronophage et pas très photogénique avec la réalisation de multiples détails : pitons, anneaux, mantelets de sabords et autres caronades.
La pose des premières couleurs devrait agrémenter ce travail ...

Bien à vous

Démat
 Montage agréable à regarder Très beau travail soigné 

Sympa ce renard

Bonsoir,

Comme annoncé, le Renard prend des couleurs ! Les oeuvres vives sont noires puisque c'est l'état actuel du bateau.



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Et j'ai passé effectivement un bon moment à la fabrication et à la peinture des accessoires. C'est presque terminé et prêt à être installé.

Prochaine étape : mise en place des caronades, 2 en batterie et 3 en retrait de chaque bord. Les sabords arrière et avant sont là pour la figuration. Je ne sais d'ailleurs pas si le Renard est réellement armé de 10 caronades, la plupart du temps il n'en a que 2 ou 4.

Rien de bien compliqué a priori mais c'est assez petit ... A suivre donc

Bien à vous,

Bonjour,

Suite du journal de construction du Renard avec une belle avancée cette quinzaine.

Tout d'abord le gréement et l'installation des 10 caronades.
Nota : les cadènes et les rateliers de cabillots ont été posés après les caronades pour ne pas gêner l'accès à celles-ci.

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La différence de positionnement des caronades n'est pas flagrante sur cette photo ...

Lorsque la caronade est en retrait, la partie supérieure du châssis est reculée, ce qui permet de tourner la pièce pour la charger.
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Lorsqu'elle est en batterie, la partie supérieure est avancée.
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Les éléments fournis dans le kit AL ont été modifiés/complétés sur la base des photos du vrai bateau.
ATFU, les poulies utilisées sont des 3 mm de chez HISMODEL.

Une vue de l'extérieur. Les mantelets manquants seront posés plus tard.
L'échelle hors le bord, présente à tribord uniquement, est en place.


Tout à l'avant, j'ai réalisé un guideau électrique. L'ancre sera une ancre plate articulée de type FOB. Si ceci n'est pas du tout historique, c'est conforme au Renard actuel.


Tout à l'arrière, les bossoirs de l'annexe de service. La traverse centrale est équipée d'un feu de navigation.

Le tableau arrière, dont la réalisation est facilitée par la fourniture dans le kit d'une belle pièce en photodécoupe ; il suffit de la peindre . Les chaînes de sauvegarde du safran sont en place.
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Remontons sur le pont. Tous les équipements vus précédemment ont été mis en place après peinture.

Vers l'arrière


Au centre


Et à l'avant


Une vue d'ensemble pour conclure

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Au bout du compte, le pont est assez encombré.
On comprend l'intérêt de ne pas embarquer toutes les caronades pour laisser plus de place aux passagers.

Voilà pour aujourd'hui.
Je vais pouvoir passer à la réalisation des mâts et des vergues, en réfléchissant à la question : "Avec ou sans les voiles ???"

Bien à vous,

Ça avance vite est bien ! un grand bravo, il a de l'allure cotre.

Bonjour

On a toujours la même question ... avec ou sans voiles...?

sans voile .... je trouve cela un peu triste 
avec voiles ... c'est un peu trop de toile qui cache des détails...

Une solution ... mettre les voiles mais ferlées (ou carguées)
on a le plaisir de monter les divers cordages ...  drisses écoutes .... ce qui enrichit le visuel du modèle
en plus on peut réduire au tiers certaines dimension de voiles, cela facilite un peu les choses et l'épaisseur de la voile carguées

bons vents 

christophe (chrtib)
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Sympa

L'un ou l'autre je trouve cela bien...
Déployé ou pas