Enigmes navales, identification

Beatrice

steamr princess beatrice - Rechercher (bing.com)

En fait j'ai commencé par chercher "canadian steamer princess", la vache il y en a eu quelque uns ....
Avec l'initiale évidemment cela devenait plus facile.

Oh le tricheur mais c'est bien ça. Lancement du Princess Beatrice à Esquimalt le 10 septembre 1903.
J'aurais pu mettre celle là mais ça aurait été plus compliqué:



Princess May en train de mourir loin des regards.

A toi Cédric

Le Princess Beatrice était un bateau à vapeur construit pour et appartenant à la division maritime du Chemin de fer Canadien Pacifique . Le navire a servi de 1903 à 1928 dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique . Le navire a également opéré sur Puget Sound sur une route de Victoria, en Colombie-Britannique, à Seattle, dans l'État de Washington . Princess Beatrice a été le premier navire à opérer toute l'année dans le service de navires à vapeur entre Seattle et Victoria qui a été géré par CPR de 1904 à 1959. Ce navire ne doit pas être confondu avec un ancien Princess Beatrice , construit en Écosse en 1874, qui a servi sur la côte atlantique du Canada.

Conception et construction

Le Princess Beatrice a été construit en 1903 à Esquimalt, en Colombie-Britannique, par la BC Marine Railway Co., Ltd. [1] Le Beatrice a été le premier navire Princess construit pour le Chemin de fer Canadien Pacifique . [2]

Les dimensions du navire étaient de 197 pieds (60 m) de longueur, 37 pieds (11 m) de largeur et 15 pieds (4,6 m) de profondeur de cale, 1290 tonnes brutes. La centrale électrique était une machine à vapeur à triple expansion , fabriquée par Bow, McLachlan & Co. de Paisley, en Écosse , produisant 1 392 chevaux . [3] Le moteur avait trois cylindres, avec des diamètres allant de la haute pression à la basse pression de 18, 30 et 50 pouces (1 300 mm), avec une course d'alésage sur les trois cylindres de 36 pouces (910 mm). Le navire avait une vitesse de conception de 13 nœuds (24 km/h) et était entraîné par une seule hélice. [1] [2] Le navire a été construit en bois. Béatriceétait l'un des plus gros navires construits en Colombie-Britannique jusqu'à cette époque. [2] Le coût de construction était de 200 000 $. [4]

Le navire a été lancé le 10 septembre 1903. Les essais ont été achevés en novembre 1903. [2] Le numéro d'enregistrement canadien était 116405. [5] Le navire était autorisé pour 350 passagers à la journée. Il y avait 40 cabines pouvant accueillir 86 passagers pour la nuit. [3] Les logements du navire étaient considérés comme luxueux et comprenaient, conformément aux pratiques de l'époque, une cabine séparée pour les femmes et les enfants. [2] [6]

Opérations

Le capitaine James W. Troup , surintendant de la division des navires à vapeur côtiers du CP , avait l'intention que Beatrice soit exploitée entre Victoria et New Westminster jusqu'au printemps 1904, lorsque le navire devait être transféré sur une route vers la rivière Nass et sud-est de l'Alaska. Cependant, avec le naufrage du navire à vapeur américain Clallam en route de Seattle à Victoria le 7 janvier 1904, les citoyens de Victoria ont demandé que le CFCP mette un vapeur de remplacement sur la liaison Victoria-Seattle. En réponse, Troup a assigné le Beatrice à la route, le navire effectuant son premier voyage à Seattle le 20 janvier 1904. [2][6] [7] Cela a marqué le début d'un service de passagers quotidien toute l'année qui a été maintenu entre Seattle et Victoria par le CPR Coast Service jusqu'en 1959. [7] Cela est devenu une partie de la "Triangle Route" des bateaux à vapeur circulant entre Seattle , Victoria et Vancouver, Colombie-Britannique . [8]

Beatrice a accosté au Quai 2 à Seattle. [3] Alors qu'elle était dans ce service, Beatrice a été entraînée dans une guerre des tarifs sur la route de Victoria qui a éclaté entre le CPR Coast Service et son rival américain, la Puget Sound Navigation Company [9]

Lorsque le Princess Royal a été mis en service en 1907, le plan est devenu de relever le Beatrice sur le trajet Seattle-Victoria en hiver et d'utiliser le Beatrice sur la route de Prince Rupert. Beatrice a servi sur la côte nord de la Colombie-Britannique, faisant escale dans les ports miniers, forestiers et de conserverie le long de la côte nord. [dix]

La dislocation économique de novembre 1914, causée par la Première Guerre mondiale, obligea le CP à immobiliser la moitié de sa flotte, y compris le Princess Beatrice . [11]

Le capitaine Thomas Rippon (1882–1939), nommé plus tard surintendant du CPR Coast Service, commanda Beatrice de 1916 à 1920. [12]


La princesse Béatrice échouée sur l'île Noble , octobre 1911.



En octobre 1911 , la princesse Beatrice s'échoue sur l'île Noble.

Disposition
En 1928, le Canadien Pacifique a mis en service un nouveau navire, le Princess Norah , et a pu retirer le Beatrice . Beatrice a été vendue à BL Johnson, Walton & Co., une entreprise de Vancouver, qui a retiré les machines du navire et converti la carcasse en conserverie flottante. [13] L'ex- Beatrice , maintenant une conserverie, a ensuite été remorquée jusqu'à la côte ouest de l'île de Vancouver . [14]

Après la conserverie

Princesse Beatrice - Acte de vente à Captain House, 23 mai 1935

Mis au rebut vers 1930, [15] un acte de vente du 23 mai 1935 montre que la carcasse de la conserverie a été vendue par British Columbia Packers Limited au capitaine Cyril James House pour "un dollar et toute autre considération de valeur". La princesse Beatrice était la seule princesse non convertie pour brûler du mazout. [15]

https://www.wikiwand.com/en/SS_Princess_Beatrice

Nan, je laisse la main à Yoann, 
c'est quand même lui qui a trouvé le "Princess" alors que je sechais misérablement.

A toi Yoann !!

Comme tu veux Cédric c'était un coup chance je suis tombé sur la photo il y a pas longtemps

Quelle est Cette épave qui n'a pas voulu se coucher lors de ses 2 échouages .... avant d'être reconstruit


J'espère que c'est pas trop dur

Je suppose que ce cul de canard appartient à « Biche » thonier de Groix,reconstruit à Lorient par une équipe du chantier du Guip menée par le fils de Yan Maufret..

Bravo Magellan, j'allais donner quelques indices

Je vais faire cours pour l'histoire
C'est le Biche de Groix, dundee thonier de 1934, le dernier.
Patron Ange Stéphan


Après sa dernière campagne il est racheté par les belges dans les années 50. Puis par un anglais vers 1967, Charles Booth achète le dundee en 1975 pour faire des croisières.

C'est le fameux Dominique Duviard qui fit tout pour que Biche retourne à Groix.
Charles Booth fit un passage à Groix en 79.
La rencontre entre Charles (à droite) et Ange Stéphan content de revoir son dundee.

Il eu plusieurs propriétaires anglais, en 1991 le port musée de Douarnenez intègre Biche dans sa collection.
Manque de moyen, le dundee commença à dépérir, sombra deux fois, plus les problèmes administratifs qui en gros donne le droit à personne de récupérer une pièce de musée. Biche fini par être échoué mais ne se couche pas.
Une opération commando est organisé pour le récupérer, mais arrêtée par les gendarmes, biche est de nouveau échoué mais se couche toujours pas.

Finalement l'association les amis du Biche réussir à acheter l'épave et reconstruit au chantier du guip.



Et navigue toujours aujourd'hui


À toi Magellan

Je connaissais bien cette épave que je n’immaginais jamais voir revivre.Avant que ce bateau soit arrivé à ce stade de pourriture,je l’avais croisé , navigant en Bretagne sud, au début des  année  70. Du premier 
coup d’eil ce fût le coup de foudre. Le patrimoine maritime était très loin encore d’interresser le citoyen.
Je salue tous les acteurs qui ont contribué à la grande résurrection. Ce terme de résurrection reste toutefois un peu fort car de l’ancien thonier groisillon  il ne reste rien que la forme. Son transport de Douarnenez vers Brest tout d’abord fut techniquement une aventure matérielle et administrative compliquée vu que la vielle coque risquait de sombrer à tout instant dans ce premier voyage. Le deuxième voyage vers Lorient fut plus simple à l’aide d’une barge de transport maritime.

Les amis du Biche vendent un livre "Biche, dernier thonier dundee de Groix" qui retrace l'histoire du bateau avec pas mal de photos. Je vous le conseille

Du coup Magellan c'est quoi la nouvelle énigme?

Bonjour

Bravo Magellan
J'avais bien reconnu une silhouette de thonier "cul de poule" et l'ambiance vaso-bretonnante, mais le montage de planches blanches sur le pont m'intriguait.
Et de là à trouver le nom du bateau

Les planches blanches constituaient une charpente destinée à recevoir un film de nylon  dans le genre d’une serre pour protéger l’epave des intempéries. Une louable intention dérisoire au vu de l’etat déplorable du « canot » à cette époque.
Au hasard d’un jour d’été à Port Tudy ,Île de Groix , il a très longtemps j’ai rencontré Ange, l’ex patron du « Biche ». marin retraité, mais toujours sur l’eau avec son joli canot magnifiquement entretenu. La mer est  pour certain une drogue. Cet homme à l’allure très digne dans une combinaison de travail impeccable sur chemise blanche , quel bonheur de pouvoir converser avec ce marin nostalgique qui sur ma demande prenait un réel plaisir à faire revivre et partager ses souvenirs de pêche du temps où la voile était reine.le jeune homme que j’étais alors fût tellement impressionné par cette rencontre que cela ne faisait que  confirmer l’intérêt que je porte encore aujourd’hui au patrimoine maritime .

Certains projets "ont pris l'eau" depuis quelques années, la "mode" de la restauration de ces navires de travail est un peu passée malheureusement, la bonne volonté pour remettre à flot ce patrimoine s'est un peu tarie faute de bénévoles et de financements, la crise est un peu passée par là. La pandémie n'a pas arrangé les choses.

Je suis un peu triste de voir certains navires restaurés ou toujours en cours de restauration se dégrader sur des grèves ou à l'abri sur des rivières.. Je pense à la Fée de l'Aulne à Chateaulin ( Port Launay ) un peu à l'abandon et d'autres dans mon coin...

C'est surtout les finances qui manquent pour la construction ou restauration, et encore plus pour l'entretien...

Quel chance Magellan d'avoir côtoyé c'est homme et leurs jolies canots de retraite, j'ai une photo, ainsi que celui du patron du Mimosa.

C'est à votre tour de nous faire identifier quelque chose

He les gars, on sort du sujet là    
On peut avoir une nouvelle photo SVP?

Dagornson a écrit:

He les gars, on sort du sujet là  

Mais non    c'est bien d'expliquer les photos et d'enrichir notre culture navale

Christian, pour te faire patienter en attendant l'énigme de Magellan, voici un rébus   . Il s'git d'un homme d'état français ayant œuvré pour la marine et son nom a été donné à un navire de la royale :



C'est super difficile
(Notez quand même l'utilisation d'images ayant rapport à la marine, la deuxième photo est empruntée à Gianluca)

excellent! 
Col - Bert ...

Bien vu
En attendant dans le même genre facile

Facile je pense Jean Bart

Amicalement Georges

Mon premier a de l'argent
On enjambe 7 fois mon second avec de bonnes bottes
Mon tout était rouge avant de devenir gris.

Je pense que c'est "Belle demeure", oups ! Pardon, Richelieu.

Bonjour

Pour changer de style, un peu de BD belge , voici 5 navires



Comme indice, voici 6 séries de BD (eh oui il y a un intrus )
Tintin, Buck Danny, Spirou, Lucky Luke, Yoko Tsuno, Barbe noire

Quels sont les noms des navires et pour les bédéphiles dans quels albums apparaissent-ils ?

Hello,
pour la 3, je dirais Lucky Luke peut-être: "en remontant le Mississipi?
pour la 5, ça doit être le Yamato...

4: Speedol star "tintin et l'or noir" ?

Dagornson a écrit:

Hello,
pour la 3, je dirais Lucky Luke peut-être: "en remontant le Mississipi?
pour la 5, ça doit être le Yamato...

Pour le 5 c'est le Yamato, tiré des aventures de Yoko Tsuno.