Sous-marin le Biber 1/20 sur plan

Merci Stéphane , voilà la suite ...



Encollage pour la partie milieu .


Plaque de centrage pour les pointes de tournage .


Tournage terminé .


Pré-assemblage .

Principe de perçage avec précision de la rondelle de jonction entre 
le corps principal et l'avant . A l'origine cette partie avant était l'explosif .
La rondelle est fixée sur la table qui est elle même figée . Donc le rayon est contant .
Il y a juste à dévisser l'écrou de fixation et tourner la rondelle pour aller chercher le coup
de pointeau suivant .Les trous correspondent aux boulons d'assemblage des parties .




Préparation du cylindre (coque laiton) avant suivant le développement du cylindre bois .




Après découpe , formage autour d'un cylindre bois .




Présentation .



Système d'assemblage des différentes parties de l'arrière à l'avant par tige filetée .




Découpage sur le cylindre pour insertion des goussets sut couronne percée .




Après l'évidement intérieur du bois je découpe le pourtour sur une profondeur 
correspondant à la hauteur du gousset , ce qui permet de placer chaque gousset en surlongueur à l'intérieur
du bois de manière à les fixer par pinoche soudée ... C'est clair ????






Opération réussie pour les premiers essais ...

De quelle manière tu traces tes angles de 15° pour y appliquer le coup de pointeau?

Salut Pascal . Je n'ai pas tracé un angle , j'ai divisé le périmètre et tracé un écartement au compas .

Ok merci.

Après réflexion , j'ai changé la partie arrière "le cul de poule " . Plus facile que le cône en feuillard .





Mise en place des goussets terminée .

Maintenant , grosse réflexion pour le positionnement des axes ( vertical et longitudinal ). 
Le corps principal étant cylindrique , je n'ai pas de repaire de symétrie - bâbord, tribord -
Le seul repère que je possède , c'est la soudure du cylindre laiton , qui devra se positionner 
dans l'axe bas . Je vais donc déterminer sa position dans un étau de manière à ce que la soudure 
se trouve bien au milieu de la distance entre bâbord et tribord (calage plaques de bois dans l'étau).
A ce moment je perce mon cylindre verticalement à un endroit sur l'axe (donc sur la soudure )
qui sera caché par la mise en place du sas supérieur et par la quille en bas .Ce perçage me servira 
de plan de référence vertical pour la suite du montage .
  Je fais très attention à cette situation , car il m'est déjà arrivé en fin de montage de voir que j'avais 
un décalage d'alignement entre l'avant et l'arrière ..... trop tard .... 

     Voici donc la préparation de la journée , par la réflexion ...
 
                Bonne journée ...


Ma poinçonneuse "maison" pour imiter les rivets par repoussement .









Ma machine à rouler ... Il faut dire que ce n'est que du 0,3 m/m d'épaisseur .







Avant d'enfiler ma tôle sur le cylindre bois , je place un feuillard étamé à l'endroit de la jonction à souder , ayant préalablement étamé aussi 
l'intérieur du laiton à l'endroit de la soudure .




Maintenant je positionne mon laiton en face du feuillard dans l'axe longitudinal bas et je le serre avec les serflex en protégeant quand même la tôle .





Après le serrage , j'utilise "l'eau de soudure " , décapant très efficace pour la soudure à l'étain . ( c'est le petit bidon qu'on voit derrière )
Je n'ai plus qu'à approcher mon fer à souder chargé en étain contre la tôle , et en quelques secondes la jonction se fait sans problème . 
Je n'aurai même pas à nettoyer cette soudure car elle sera partiellement cachée par la quille .
Après mon explication de ce matin , c'est cette soudure qui me sert de repère pour mon perçage vertical .





La mise en boite pour perçage vertical dans l'axe longitudinal après réglage symétrique bâbord -tribord. 
Ensuite perçage de référence diamètre 6 m/m dans le prolongement du périscope 
et 2 perçages de 3,3 m/m fileté à 4 m/m (dans le bois) pour insérer des tiges filetées de 4 m/m 
qui me serviront de tenues sur le support .





Présentation tige filetée .

Développement du 1 er tronc de cône arrière .




Présentation .




Assemblages.

Aujourd'hui les éléments de quille .

Bonsoir Dominique,

Que dire ?

 

Eh oui , que dire ... de mon coté j'aime bien faire se poser des questions ...

Fabrication des supports de gouvernail .






Partie basse , prolongement de la quille .

Toujours aussi pro. Bravo.
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Merci Gavouot ...  

Support supérieur en place .

Un vrai plaisir à te voir fabriquer ce soum de poche et c'est d'une précision remarquable 

Merci Christophe . C'est sur que par moment ce n'est pas évident , mais il m'arrive de redémonter pour améliorer car manque d'attention ...

Bonjour Dominique,

Quel travail…
N'ayant jamais tenu un fer à souder il y a plein de termes qui m'échappent mais je me contente d'admirer le résultat final.

Merci Cédric . En ce cas n'hésites pas à demander , c'est parfois intéressant de détailler , même pour ceux qui n'osent pas .

Bravo pour tes qualités de soudeur.
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Merci gavouot ..

Aujourd'hui , ailerons de plongée avant .

Opération délicate , perçage dans la coque de l'axe des ailerons de plongée avant . 
Dans cette position , le foret a toujours tendance à chasser .

Les charnières .

Encore une petite merveille de savoir-faire; très agréable à suivre!
Bien à toi!

Merci Clément ...  

 Superbe, ça donne envie de se lancer   C'est ma femme qui va pas être d'accord 

Dommage , tu t'apercevrais comme c'est intéressant ...et prenant ...

Aujourd'hui , gros travail sur la collerette de liaison des éléments de coque .


Pour commencer , découpage d'une bande de 3 m/m dans une tôle de laiton de 3 m/m d'épaisseur .
Quand il faut , il faut .




Après l'avoir ébavurée et ajustée à la bonne épaisseur , je commence à la former 
sur la boule gabarit.





Ensuite je le "recuis" au chalumeau, petite explication :

Lorsque l’on souhaite “travailler” le métal (laiton, argent, or ou autre), c’est à dire lorsque l’on veut avoir 
une action sur lui, le déformer même légèrement, il est vivement conseillé de le recuire.
En effet toute action de frappe, torsion, pliage, laminage, aplanissage, aura pour effet d’écrouir votre métal. 
Il deviendra donc dur et cassant, surtout si vous travaillez de fines épaisseurs.

Le mieux reste donc de le “ramollir” afin de pouvoir continuer à le travailler aisément, tout en le rendant plus résistant.


Lorsque j'ai ma forme , je trace sur mon gabarit mes axes de perçage pour mes "boulons"
qui seront remplacés ici par de la vergette de 2 m/m .



Ensuite , perçage en ayant figé la pièce sur son plateau .




La collerette est percée .





Maintenant j'insère des tiges de 2 m/m en ajoutant une cale d'épaisseur de sortie (rondelle ).
Les tiges simulent les boulons de liaison des éléments de coque .




 Arasage de l'autre coté .




Collerette terminée .





... Et première présentation .

Support périscope .


Ici je profite du perçage de 6 m/m que j'ai réalisé pour avoir mon vertical de référence 
pour insérer une tige de 6 m/m que j'ai préalablement percé en bout .
 Ce trou de 3 m/m va me servir à positionner le périscope bien verticalement .








Montage liaison périscope -massif.





Préparation de l'emplacement pour être sur d'être bien à l'axe .




Présentation après ajustage ...




Les pattes d'élingage .