Corvette Astrolabe - 1811 [plan AAMM base Mantua 1/50°] de THIMARIE

Bonjour 

je ne referai pas la genèse de ce bateau que notre ami Bulledo a parfaitement décrite

https://www.laroyale-modelisme.net/t20476-astrolabe-de-mantua-au-1-50-eme

J'ai commencé cette maquette en janvier 2015 et j'en suis à la fin : gréement des voiles. C'est un bateau très plaisant à monter et l'échelle 1/50 permet de réaliser de nombreux détails.

J'ai procédé à de très nombreuses modifications, car comme d'habitude Mantua comme d'autres d'ailleurs ont parfois tendance à prendre de nombreux raccourcis...

De tête les modifications que j'ai apportées :

Coque à double bordage au lieu d'un seul initialement. Intégration de bois plus nobles, Noyer, Erable/sycomore, doublage en cuivre de la coque, lattage des ponts avec représentation du calfatage, amélioration et modification des "sculptures en creux" de la proue et du château arrière, correction des affuts de canon avec les plans AAMM, car ceux que proposent Mantua ne sont pas les bons et le 1/50 permet de les représenter dans leur configuration réelle. Utilisation des plans AAMM pour le matage et le gréement des vergues, voiles...car je souhaitai le représenter sous voile (Voiles Mantua qu'il faut reprendre aussi...)

Les premières photos :









Le montage est classique, préparation d'un chantier pour maintenir la quille, montage à blanc, équerrage, ponçage des traces de  brulure de la découpe laser, puis ponçage des couples pour que les lisses s'appuient sur l'intégralité ds couples, tout en filant normalement.









 Brochetage, effilage des couples



Application de la méthode hollandaise lorsque développé au couple augmente (C'est le contraire de l'effilage)







Ponçage, puis passage du racloir 

Démat
 Belle coque Le travail est soigné Bonne suite

Deuxième bordage.

Le second bordage sera réalisé en noyer 0,5 x 9 cm ce qui correspond à des lisse de 25 cm par 450 cm au réel. Les matières utilisée sont le noyer et l'érable sycomore





Comme on peut le voir sur ces photos, le double bordage est représenté en noyer, en érable et les préceintes en érable.





Comme je l'ai indiqué, j'ai posé le double bordage avec un petit fer à repasser qui sert dans le monde de la confection à repasser les ourlets ou les endroits délicats. J'ai trouvé cela dans une boutique de fournitures pour la confection (une 40 d'euros de mémoire) à Paris, boulevard de Strasbourg (Gare de l'Est). Il y a deux positions pour la température.

J'avais envi de tester cette méthode que j'avais découvert sur notre Blog "La Royale" dans un post proposé par l'Ancien si ma mémoire est bonne. 
Rendons à César ce qui appartient à César, C'EST GENIAL. Après avoir placé à blanc la baguette de doublage (0,5 mm X 90 mm), encollage avec un pinceau à la colle blanche rapide (Ponal express , seule colle que j'utilise) mise en place, passage du fer en "marouflant", retrait immédiat de l'excédent de colle avec un petit grattoir, c'est fini. On en fait des kilomètres en rien de temps. Sur des formes un peu complexes, on peut maintenir quelques minutes avec des épingles.

Un montage qui part très bien (comme tous tes bateaux, d'ailleurs !), mais je me pose quelques questions sur ta méthode de bordage.
Clairement, tu maitrises parfaitement à la fois les termes, et tes maquettes sont la preuve que tu as une bien plus longue expérience que moi.
Et justement, ce n'est en aucun cas une critique, hein, mais je suis curieux toujours des possibilités de montage et d'astuces que je ne connais pas :
- pourquoi tu ne laisses pas filer tes virures jusqu'à l'étambot ? Une raison ?
- pourquoi tu ne travailles pas le brochetage de tes virures pour éviter qu'elles se croisent en pointe à la proue et sur ta découpe en diagonale sur la poupe ?

Merci pour tes compliments. C'est vrai que je fais de la maquette depuis mes 15 ans. Cela commence à faire.

Au niveau des virures, je savais dés le départ que je voulais réaliser un double bordage avec des bois plus noble et du cuivre comme l'étaient équipés les navires du 19 ème siècle . Le bois fourni par Mantua n'était pas terrible, je ne me suis donc pas embêté avec un brochetage dans les règles de l'art. Par contre au niveau du double bordage, celui çi est respecté, même si finalement on ne verra plus grand chose sous les plaques de cuivre.

Au niveau de l'étambot, c'était pour éviter d'avoir une sur épaisseur par rapport à l'étrave. En effet, l'étrave sera juste habillée en noyer (Epaisseur 0,5 mm) ce qui donne avec le CTP 6 mm fini.
si j'avais couvert l'étambot avec la première bordée (Bois de 1,5 mm), cela aurai fait 9 mm avant doublage, trop épais.

N'hésite pas si tu as des questions. J'ai déjà regardé des réalisations, c'est magnifique et toi aussi tu as beaucoup de choses à m'apprendre, comme beaucoup d'autres d'ailleurs sur ce forum. Je n'ai pas encore eu le temps de tout parcourir, c'est tellement riche, mais je n'hésiterai pas à te poser des questions.

Mise en forme du château arrière

Préparation d'un gabarit. Trempage du CTP une dizaine de minutes dans la bouilloire électrique.
Mise en place dans le gabarit, y a plus qu'à laisser sécher en forme.

[url=https://servimg.com/view/19810468/192][/url]

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Mise en place sur le bateau avec découpe des emplacements des préceintes
.

Pour varier les plaisirs, fabrication des pièces d'artillerie.

Comme je l'ai écrit dans le premier post , la représentation par Mantua est erronée. ci dessous les propositions de Mantua et la représentation sur le plan AAMM






La modification concerne le socle du chariot qu'il faut juste retailler et compléter les équipements

Fabrication d'un gabarit pour gérer l'écartement.





Modification des essieux de roue de Mantua, fabrication d'un gabarit en CTP de 5, un coup de scie de la largeur de l'axe d'essieu, un coin pour bloquer l'essieu et zou, sous la fraiseuse ou perceuse à colonne, pour créer un trou afin d'insérer un axe dépassant de l'essieu (Cure dent, pique à apéritif)










Compléments apportés sur l'équipement de la pièce d'artillerie, brague, palan de retraite, palan de coté, ferrure de fixation du canon.
 Toutes ces pièces (comme l'ensemble des pièces laiton de ce bateau sont préalablement passés au brunisseur de laiton avant assemblage, ce qui permet d'avoir une belle patine.





  
Rajout du coussin et du coin de visée.





Voilà ce que cela donne avant gréement des cordages. Désolé pour la qualité des photos, elles sont un peu sombre.

Hello magnifique travail, bravo !

Retour sur la coque. Percement des sabords et création des puits d'écubiers à la proue

Remarque : Mantua proposé 16 sabords, ce qui correspond aux plans AAMM, mais ne fournit que 14 canons... Je n'avais pas de tour à métaux à l'époque, peut être que je les complèterai plus tard si j'ai le temps.

Attention, il est très important de réfléchir posément au percement des sabords (ne pas suivre à la lettre le plan mantua, car il y'a aura bien un ou deux canons qui se retrouverons face à une enfléchure. Même en ayant calculé et recalculé, j'ai un canon qui est vraiment trop prêt).

Il faut donc prévoir l'implantation des supports des caps de mouton d'enfléchures, d'avoir un écart régulier entre chaque sabord afin d'avoir une bonne régularité des jambettes de pavois




 
Vérification avec le canon en situation



Création du puis d'écubier pour l'orin d'ancre.



Puis j'ai habillé l'écubier avec un petit morceau de plomb (collerette d'une bouteille de vin sur l'envers)

Passage à l'étape suivante : préparation du pont principal.

En premier lieu suppression des jambettes de pavois des couples initiaux qui sont trop espacés et bien trop épais. Ils seront remplacés par des bois de 1,5 mm carrés.




Fabrication des fourrures de gouttière : c'est la bande de bois au contact de la muraille que je souhaitais faire ressortir par un bois noble , du noyer.

Pour cela je vous propose une astuce assez simple. J'avais l'habitude d'utiliser un compas pour réaliser mes traçages  sur des formes rondes, mais bien souvent la précision n'était pas au rendez vous. Mon astuce a été la suivante : deux rondelles dont la différence de diamètre entre ces deux rondelles sera au final largeur de la latte de bois.
On découpe un patron en carton (il n'a pas besoin d'être hyper précis puisque le tracé sera intérieur.
On prend un crayon à papier, la plus petite des rondelles, on positionne la rondelle en contact avec la muraille, on met la mine de crayon dans le trou de la rondelle au contact de celle ci et il n'y a plus qu'à faire "rouler" la rondelle le long de la muraille.
On pratique de la même manière avec la rondelle plus large et on a notre gabarit de découpe. 




J'ai trouvé par hasard, ces copieurs de forme chez Otelo je crois et c'est très pratique.








Placage du pont. Le placage du pont est réalisé avec des baguettes fines d'érable (sycomore) de 0,5 d'épaisseur, 5 mm de large et 9 cm de long. 2 rangées de ces baguettes seront peintes préalablement en noir avec une peinture acrylique ( j'utilise toujours du noir de Mars qui offre un noir profond, en tube et de qualité Winsor et Newton.






La représentation du calfatage est faite avec du fil de pêche à la carpe en carbone et de couleur noir (0,24 mm ce qui représente un calfatage de 1,2 cm de large dans la vraie vie : correct je pense). Il est mis en place en même temps que chaque latte sur la colle blanche qui déborde. Pour des raisons évidentes liées au produit , je n'ai pas pu latter au fer à repasser.









  

la fourrure de gouttière va être complétée par un renfort (carré biseauté) sur lequel vont venir s'appuyer les jambettes de pavois (1,5 mm carré)

Pour cela, fabrication d'un petit outil avec une lame de cutter usagée. Il suffit alors de passer plusieurs fois sur notre carré de 2x2 mm pour former notre pan coupé.














Voilà ce que cela rend au final.

Au niveau du lattage, je ne respecte pas de géométrie particulière, hormis des lattes de 9 cm de long. Je m'explique : bien souvent sur les maquettes, la pose est effectuée en décalé régulier sur 3 ou 4 rangées. Je ne partage pas cet avis (et ce n'est que mon avis), car en réalité, la charpente d'un vaisseau est très serrée, d'ou des appuis très nombreux et d'autre part à cette époque on ne gaspillait ni le matériau,  ni la sueur du sciage à la main ; en largeur ça va encore mais en long...
Le bout de bois recoupé pour finir une rangée était réutilisé sans tenir compte d'une géométrie. C'est un pont de bateau, pas un parquet de Hongrie...





En ce qui concerne le plat bord, Mantua propose une méthode qui m'a paru intéressante. Je l'ai réalisé en lamellé collé en me servant de la forme de la coque comme gabarit. Je n'ai malheureusement pas retrouvé de photo à ce propos. J'ai utilisé du bois de 1 x 1,5 mm avec lequel j'ai fait 7 couches, pour un plat bord final de 1,5 mm de haut sur 7 mm de large.
Après protection avec du papier collant (protecteur pour peinture) du haut du pavois, encollage et positionnement en forme avec des pinces sur le gabarit que constitue la coque, en s'alignant bien à ras sur le haut on reconstitue en même temps la tonture du bateau.

Pour changer le rythme : un peu de déco...

Mantua fournit pour le château arrière, pour la guibre à l'étrave, des moulages en bois et en creux faits au Laser. C'est pas le nec, mais avec peu de chose, je trouve que cela peut avoir meilleure allure.
Ces moulures en creux sont de couleur noire (partie brulée) et dorée protégée par un verni sur la partie non brulée.

J'ai commencé par "nettoyer précautionneusement la partie brulée, grattage léger, ponçage léger pour ne pas gratter le verni des parties en "bosses".
J'ai appliqué 3 couches d'acrylique Noir de mars et verni (Microscale satiné) Puis ponçage des pièces pour retirer le vernis d'origine sur la partie en "bosse", ce qui va donc faire apparaître la dorure d'origine. Attention il faut y aller tout doux. Puis de nouveau verni satin pour protéger le tout.

Au niveau du château arrière, même combat, et pour représenter le verre des fenêtres, j'ai collé sur l'envers de la feuille plastique transparente couleur bleu vert. On croirait voir le reflet des flots dans les vitres.

Voilà les photos, moi ça me plait bien 















La figure de proue. La figure de proue est un chien type berger et cela me va bien

La figure de proue :


La vraie ...

Bonsoir à toi Thimarie.
Merci pour ce "post" que je trouve très intéressant , avec de bonne idées. J'ai noté le fil de pêche pour le calfatage. Beau bateau , comme tu dis le 1/50ème permet pas mal de chose, C'est la bonne échelle.je fini de mon coté cette même corvette Astrolabe ou plutôt son "sister-ship", la lionne au 68ème et je galère un peu dans les détails et tout les éléments que j'ai dû fabriquer de A à Z. (J'en suis à fabriquer les ancres de bossoir)
Les couleurs que tu as choisies sont très réalistes et l'ensemble "bois-beige-noir -cuivre" vont très bien ensemble.C'est classe. J'ai vu cette même maquette avec sur la coque du vert, du rouge. Alors là c'est vraiment nul.
Pour le montage du gréement, si je peux te conseiller: je dirais que tu prends un gros risque en équipant le beauprés. J'aurais laissé cela pour la fin.Tu passeras encore beaucoup de temps à tourner autour de ta maquette. Je trouve que gréer un tel bateau est plus long que construire la coque.
Bon courage à toi pour la suite et j'espère revoir des photos à mesure de l'avancement de ton chantier.
 Merci à toi, Cordialement , Jacques

Du très beau travail avec plein d'astuces
A+JC

Bonsoir Thimarie,

Effectivement, du beau travail sur cette Astrolabe, on voit que c'est pensé et méthodique, tu maîtrises parfaitement la technique avec visiblement des années d'expérience ... je vais suivre, bonne continuation !

Jim

Bonjour Thimarie, superbe réalisation finesse et précision dans ton travail en y apportant une touche personnelle,c'est une mine d'enseignements j'ai pas fini de consulter ton post car je suis sur le montage de l 'Astrolabe avec beaucoup moins d'expérience.
je suis ton post avec beaucoup d'intérêt
cordialement Dominique

Très beaux travail astucieux le fil de peche pour espacer le late du pont bravo :D:D

Nouveau thème : fabrication des portes haubans et des cadènes.

Pas de difficultés particulières, j'ai renforcé la fixation des portes haubans par des picots en laiton insérés dans le porte hauban et qui rentrent dans la coque



Fabrication des cadènes de cap de mouton. Les cadènes proposées par Mantua sont très simplifiées, en deux parties seulement. J'ai souhaité avoir une représentation plus conforme à la réalité.

Construction d'un gabarit assez simple avec de la barre de laiton du diamètre du cap de mouton, des clous en laiton tête homme de 1,25 mm dont j'ai sectionné la tête homme et pour réaliser ces cadènes du fil de laiton de 1 mm qui après mise en forme à la pince plate, sera ensuite soudé au fer et passé au brunisseur de métaux.











Voilà ce que ça donne en place.

Bonsoir, je vous présente la méthode que j'ai utilisé pour le doublage de la coque en cuivre.

Je n'ai rien trouvé sur le marché, car soit très cher avec des plaques toutes faites chez Mantua et Amati (200 Euros pour la coque) et en plus pas aux bonnes cotes, soit trop petites, soit trop grosses, trop épaisses. 
Trouver du cuivre en plaque, l'amincir, puis la découper au bonne cote, représenter les rivets... pas les outils nécessaires (laminoir, matrice, presse)

Cela me semblait infaisable et là le déclic, pourquoi ne pas utiliser de l'adhésif cuivré qui sert à préparer les circuits imprimés ou à réaliser le blindage d'appareils électriques, notamment les guitares électriques. L'épaisseur du cuivre est de 0,03 mm, juste ce qu'il faut.

De mémoire cela ne m'a pas couté 10 euros et 30 mètres sont largement suffisants






Au 1/50, la dimension d'une plaque est de 10 X 30 mm. Il n'y a plus qu'à...

J'ai fait des tests avec des roulettes crantées : pas facile à utiliser "proprement", des représentations des rivets aléatoires.

Après recherche, j'ai trouvé un article de Bernard Frolich qui propose deux matrices, une pour bâbord, une pour tribord, permettant avec une presse de marquer les rivets.

Réalisation des plaques de cuivre :

Construction d'un gabarit rectangulaire à la taille des plaques avec un petit morceau de cuir dans le fond. 
Fabrication des matrices. Pour chaque matrice 2 tasseaux de bois dur (Chêne) des petits clous. Perçage à la mini perceuse à colonne de deux rangées de trous assez serrés sur les deux bords des plaques (Les 2 autres bords ne sont pas marqués : chevauchement de la plaque suivante ou du dessous). Perçage de trous plus espacés en diagonale au centre. Le tasseau est recoupé à la longueur des clous utilisés moins 1  mm. Les clous (Tête homme et j'ai pas trouvé en dessous de 0,5 mm de diamètre sur une longueur de 10 mm) sont insérés dans le tasseau dans les trous de perçage et laissent donc dépasser leur pointe sur l'autre face. Un deuxième morceau de tasseau est collé sur le dessus de ce tasseau clouté (coté tête des clous)  afin de les bloquer dans la masse. Enfin on lime les pointes de clou pour les laisser juste affleurer.

Y a plus qu'a :
on insère le rouleau cuivré, face cuivré en dessous, on présente la matrice, 2 ou 3 petits coups de marteau léger (Il faut tester jusque cela vous plaise), un coup de rasoir et une plaque de faite, il n'y a plus qu'a en faire plusieurs centaines pour Babord et Tribord et cela va relativement vite.

Quand à la pause, c'est simple, c'est autocollant et cela ne bouge pas. Un petit coup de verni ou pas selon que l'on veut le voir vieillir ou rester rutilant.

Désolé pour ce long discours, ci dessous les photos.

bravo il faut du courage pour faire cela .Il y a longtemps j'ai fais pareil pour le Victory je me souviens avoir utilisé 2500 plaques
A+ JC

très enrichissant cordialement Antonio

Système très ingénieux et totale réussite.
Bravo.
Amitiés.
JPG

Thimarie,j'aime bien ta méthode de fabrication des chaines de haubans. Avec l'angle des haubans supérieur  sur l'arrière, et les chaines en étant le prolongement , as-tu confectionné un gabarit pour en faire un pré montage et ainsi leur donner la longueur exacte?

idem pour moi
surtout la réalisation des cadenes
je vais revoir ma copie pour la Bounty car la version du kit est très sommaire
très beau travail
et merci pour les astuces
thierry

Bonsoir et merci pour vos commentaires.

En réponse à Magellan, j'ai en effet utilisé 2 gabarits selon le modèle de cap de moutons utilisés. (9 et 5 mm de mémoire). Pour le calcul de la taille, c'est tout simple les grands caps de moutons ont 2 étriers de même taille, de manière à venir reposer en appui sur les pré-ceintes. Pour les plus petits 1 seul étrier qui repose sur le haut de la pré-ceintes. La taille de la cadène (CF photo du post) est le double de la taille de l'étrier. La taille de la cadène + 1 étrier représente la distance entre le dessous du porte cap de mouton et le haut de la pré-ceinte.

Bonjour à tous

Opération suivante : équipement du pont.

Construction d'un gabarit pour la construction des caillebotis et la prise en compte du bouge du pont, échelle...