Sous-marin porte-avions japonais I-400 (scratch base Gato Trumpeter 1/200°)

Dyphrologue bonjour , je viens de voir ton début de montage pour ton I400 , superbe travail , si tu veux , j'ai un plan du I52 et il me semble ceux du I400 aussi mais je ne sais pas ou sur l'ordi .

Bonjour, après un week-end à laisser se reposer les doigts! Merci de vos commentaires, c'est sympa, et je trouve les échanges très fructueux sur ce forum de passionnés. OK et merci de l'offre d'un plan de I-52, ce pourra être une future addition à la (petite) collection.

Je reprends avec la porte du hangar. Rien de difficile, c'est plutôt processionnel. Malheureusement, j'ai raté les photos de la fabrication de la porte elle-même, par collage de morceaux de carte plastique, mis en forme après séchage par un ponçage régulier. On démarre donc avec la porte déjà terminée.



Les deux charnières sont posées et la porte est réalisée par morceaux dont on voit les jointures. Il reste à la détailler.


Vue par babord. On note que le kiosque commence à être aménagé.


Là, casse-tête: chaque dent du chemin de roulement de la porte a été collée à la colle liquide puis l'ensemble est arasé et poncé avant collage de la pièce supérieure en arc de cercle. Idem de l'autre côté.







Quelques détails de l'aménagement intérieur de la porte.


La photodécoupe (PE) est inutile jusqqu'à un certain point.





Les gonds des charnières et le système de fermeture sont montés.

Autre travail qui peut être engagé parallèlement: la grue. Rien à dire, on coupe, on perce et on colle. Toujours pas de photodécoupe, encore qu'un fil très fin serait utile pour figurer les câbles.





Autres éléments en scratch: le crochet de fermeture de la porte, les hélices, les cabestans et l'ancre.


Essai "à sec" de la porte. Noter les caisses cylindriques étanches pour les munitions.


Idem, noter les petits équipement qui occupent l'espace dans l'angle tribord.Disons tout de suite que la porte sera collée ouverte, inutile donc de s'échiner à avoir un axe pivotant.

Dans les prochains posts, nous atteindrons enfin le dur: le pont et tout ce qui va dessus!

A bientôt.

Vraiment impressionant ! Bravo !

Re-bonjour, nous nous occupons maintenant de la partie en avant du hangar, c'est-à-dire le rail de la catapulte et les différentes sections du pont.






La première chose à faire est la pose du rail de la catapulte, en le plaçant immédiatement à la bonne hauteur côté hangar et côté proue. Ainsi, il servira de référence pour le positionnement des demi-ponts babord et tribord. On devine la découpe dans le pont babord, du logement de la grue.


Vue de l'autre côté. On détaille au fur et à mesure les parties verticales (ici ajourées) avant qu'elles soient rendues difficiles d'accès.


Aménagement du logement de la grue (en haut) et collage des demi-ponts.


Autre angle de vue de cette opération.

Vue générale


Les barres verticales qui encadrent le passage des flotteurs seront visibles de l'intérieur, et elles sont plus faciles à installer tant que la paroi extérieure du sous-marin n'est pas installée.


Vue de l'autre côté. On  note le calage du rail de catapulte pour éviter qu'il ne se courbe avec le temps.


Aménagement du passage des flotteurs tribord. Cette simple rampe de quelques centimètres a trois profils différents!


Autre angle de vue. La place des rails est déjà figurée.


Aménagement du passage babord. Noter les petites pièces qui viennent donner la forme exacte du pont au dessus de ces passages. La forme qui facilite, en plongée, l'écoulement de l'eau à l'avant du logement de la grue a aussi été installée.


Affinement des détails en se fondant sur les photos d'époque. Ultérieurement, on fixera la partie du rail de catapulte entre le hangar et le chemin de roulement.


Installation du reste des demi-ponts en faisant attention aux différents angles d'inclinaison.



Un coup de peinture sur ce qui se verra de l'extérieur. (vieux principe connu, on peint ce qui ne bouge pas ....)



Prochaine étape: les flancs du sous-marin, qui viendront stabiliser les ponts et commencer à faire apparaître la forme finale.

A dans quelques jours!

 , en fait je ne trouve pas les mots...!!!😳

Ca c'est un compliment! Merci!

De retour, nous allons voir maintenant à équiper les flancs du I-400.



A partir du plan au 1/200 et des photos, on découpe et on colle les panneaux, en prenant soin de les tailler en biseau pour la partie basse (contre la coque) pour qu'il y ait peu à mastiquer et à poncer.


Pareil à tribord. Le I-400 n'est pas symétrique!


On prolonge tout le long du pont, en pratiquant une découpe qui "colle" à la forme. Sans oublier qu'il y aura juste en dessous de la paroi les ouvertures d'entrée d'eau. Dans leur parties hautes, toutes les parois collées doivent dépasser le pont en place de l'épaisseur du futur plancher. Pour moi: 0,75 mm.


Idem à babord.


Et là, ce qu'il ne fallait pas faire: j'ai omis de vérifier "à sec" à quoi ressemble la coque avec les plaques. Et la courbure du GATO est plus ample que celle du I-400. J'ai donc été obligé de rectifier la courbure en ajoutant du matériau plastique jusqu'à rattraper la bonne courbure.


Même opération à babord.


Puis masticage généreux ...


Ponçage tout aussi généreux!


Idem à tribord. La difficulté est d'aller poncer en étant restreint par un pièce déjà en place. Pour cela, les limes à ongles en carton émeri (dans toutes les bonnes pharmacies et grandes surfaces!) sont exactement adaptées.


Le résultat final. Mais cette erreur a coûté trois ou quatre soirées, avec les temps de séchage incompressibles ....

Les prochaines fois, nous finirons la poupe et verront comment réaliser les dalots et ouvertures d'entrée d'eau.

Merci de vos commentaires flatteurs. J'apprends beaucoup sur ce forum, et c'est un plaisir d'échanger!

Bonjour Paul.
Cela parait relativement facile quand on regarde les photos, qui sont très nettes et claires, mais je pense qu'il faut aussi essayer de se représenter les heures de mesures, de découpes, de ponçage... Très beau sujet de montage. C'est un plaisir de venir et revenir !
Bonne continuation.
A+, PLEF.

Effectivement, je n'ai pas comptabilisé précisément les heures. Disons que j'ai passé 6 mois de travail à raison d'1 ou 2 heures par soir (3 jours par semaine à peu près ...). Avec le prochain (Surcouf?) je compterai! Merci pour les commentaires encourageants!
Paul

Bonjour! Suite comme promis, en m'excusant d'avance: j'avais encore oublié d'ajuster la définition de la photo pendant plusieurs prises.



On prolonge les parois jusqu'à la poupe. Le pont est maintenant bien stabilisé et ne bougera plus. On note toujours le rebord de 0,75 mm (à peu près ...) qui entoure le pont et prévoit la pose des lattes.



Il y a une légère pente à ne pas oublier dans les derniers cm. Noter la quille qui court sur tout le fond du I-400.


Affinage du ponçage  pour obtenir une belle continuité des formes.


On commence ensuite à installer les ouvertures de prise d'eau. Ce sont des tronçons de profilé Evergreen, coupés un peu plus long que nécessaire afin d'obtenir une continuité parfaite par ponçage. La largeur du profilé correspond à la hauteur de l'ouverture. On les a repérés un à un par un trait de crayon, et coller à la colle liquide.


Fin du collage sur une partie tribord.


Collage de la baguette qui "ferme" la série des orifices. Cette baguette affleure la coque.


Une vue générale de la coque en cours d'équipement pour figurer les ouvertures. Les tronçons un peu plus longs (qui seront arasés à la fin) permettent de maintenir la parois à la bonne distance de la coque et éviter sa déformation sous l'effet possible de la colle.



Vue générale du travail tribord et babord.




Les ouvertures se succèdent jusqu'à la poupe. Le ponçage permet de noyer toutes ces pièces et de donner l'impression qu'il s'agit d'une paroi d'un seul tenant.


On en profite à ce moment pour coller le gouvernail.


Aux prochains numéros: divers travaux sur la proue.

Bonjour Diphrologue

Vraiment magnifique, on ne sait plus ou donner des yeux...

Thierry

Bonjour, de retour de week-end, un petit complément du côté de la proue, entre autres!



On note le mastic qui permet de rendre les liaisons entre la coque et les reliefs plus profilées. Pour figurer les passages d'eau, j'ai creusé au scalpel les "gorges" qui seront ensuite équipées de petites pièces de plastique pour figurer le cloisonnement.


C'est plus clair à tribord où j'ai surligné les gorges en question.


On les rend parfaitement rectilignes et on taille les angles droits à l'X-Acto, puis on place des cloisons


Toutes les cloisons tribord sont placées, volontairement plus longues que nécessaire pour être ensuite noyées dans le profil général par ponçage.


Les cloisons qui dépassent à babord. Pendant leur séchage, j'ai commencé à dessiner la structure du pont anti-dérapant, qui sera réalisée en tronçons de plastique étiré.


Idem à tribord.


Après ponçage, un résultat net.


Vu sous un angle différent. J'ai posé les capots des ouvertures du pont anti-dérapant, car les planches affleureront leur surface.


Idem à tribord.


Sur le kiosque, même mode opératoire. Les cloisons sont repérées au crayon (attention, les stylos qui écrivent sur le plastique ou le verre sont à proscrire car leur encre finit par traverser la peinture.) Expérience désagréable vécue sur un autre modèle ....


J'en profite pour continuer l'équipement du kiosque. A droite, la plateforme de tir anti-aérien a reçu son plancher en fines lattes de plasticarte Evergreen.


Vue tribord (avant la couverture de la plateforme anti-aérienne)



Vue sous un autre angle.


Prochaine étape: figuration des dalots et pose des planches sur le pont.

A bientôt!

De retour pour deux petits détails: la pose des dalots.


Ces pièces sont taillées dans de la carte plastique de 0,5 mm d'épaisseur, qui sont ensuite poncés pour les intégrer dans la coque, tout en restant visibles. On en profite pour placer les sorties d'arbres d'hélice. La petite bande blanche à l'arrière du pont est le carénage de protection des câbles anti-magnétiques. Ces câbles courent tout le long de la coque.




Rendez-vous bientôt pour le commencement d'équipement du pont.

Stupéfiante de finesse et de réalisme cette construction !! C'est magnifique ! Un très grand bravo !

Merci! A titre perso, je suis "scotché" par la qualité et l'inventivité des modélistes/maquettistes sur ce forum, toutes échelles confondues. Donc il faut assurer! Et plus de 40 ans de maquettisme, ça aide!

Suite du précédent: entrée dans une phase délicate, à défaut d'être difficile: coller les planches du pont!



En plastique légèrement plus blanc, on distingue les planches posées côte-à-côte sur le pont supérieur. Collage à la colle liquide, et pose immédiate au bon endroit du profilé, en respectant un espace entre chaque. Cet espace est volontairement trop large (par rapport à l'échelle réelle) pour que l'effet visuel  soit amplifié, notamment après peinture.



On coupe chaque profilé à la bonne longueur et avec le bon angle, pour qu'un espace soit ménagé autour des  reliefs déjà collés: embase des armes, capots etc ....


Cette vue de dessus fait mieux comprendre la question des espaces entre planches.


Idem vers la partie arrière du pont supérieur. On a aussi posé la plaque ajourée côté babord. Les trous sont faits avec une mèche, mais nous ne sommes pas très contents de l'alignement (la photo est impitoyable!). A droite, le logement du mât d'antenne en plongée.


Autre vue.


On continue à équiper le kiosque des tous ses détails, avant de poser les profilés sur le pont.


Début de la pose des profilés (0,75 x 0,75 mm). Noter que nous avons entretemps percé les ouvertures circulaires dans les parois verticale du hangar à hydravions.


Rien de mieux qu'une lumière rasante pour faire ressortir le travail. On  note l'aménagement du sol du poste antiaérien (probablement des planches anti-dérapantes). On note aussi que les lattes du pont supérieur n'affleurent pas le bord de la paroi, afin de pouvoir y placer la future photodécoupe.


Idem. On a commencé par les planches près du centre du pont et travaillé en s'éloignant vers l'extérieur, en veillant à ce que chaque profilé soit bien parallèle au précédent en utilisant comme guide le rainurage de la plaque.  Les plaques amovibles du pont sont figurées par des découpes dans les profilés.


Arrivée des planches du pont de part et d'autre du hangar. On a aussi commencé à travailler les côtés du rail de la catapulte.



Fin du travail à la poupe. Il faut couper les extrémités de profilés en fonction de l'angle formé par le bord du pont. De l'intérêt du léger dépassement des plaques formant les parois de la coque comme expliqué vers le début. Comme pour les maquettes en bois, un léger ponçage final du pont permet de faire disparaître les éventuelles irrégularités.



Prochain rendez-vous: la suite du travail côté proue.

Travail toujours remarquable de précision et de finesse !

Comme promis, nous avançons sur la proue, (et un peu de poupe le temps que l'autre côté sèche ...) qui présente un double platelage.



Une grille à ajouter, avec une orientation des planches spécifique.


Réalisation du plancher anti-dérapant du poste d'artillerie arrière.


Autre vue. Il est nécessaire d'être précis dans le dessin des angles.


Ici on voit les planches du pont, placées comme pour la partie arrière, plus les planches des accès aux hangars des flotteurs, enfin les rails pour les chariots qui amènent les flotteurs sous les ailes des Seiran pour leur montage.


Autre vue. On continue à équiper la rampe de la catapulte des ses divers détails.


Idem, pour le plaisir!


Et là, on ne rigole plus: il faut poser les planches transversales. (la photo trahit la référence Evergreen utilisée, la plus fine qui existe dans cette marque).


Vue en perspective du platelage presque terminé: il faut araser les profilés qui dépassent et fignoler le ponçage.


Vue de dessus: l'obsession a été de respecter strictement les intervalles entre les profilés, leur parfait alignement à 90 degrés des planches du pont, et leur parfait positionnement dans le prolongement de chaque côté du rail de la catapulte.



Autre vue. Il reste à couper parfaitement les extrémités à droite et à placer les derniers petits tronçons de profilés. Noter que les planches transversales n'existent pas entre les rails destinés aux chariots des flotteurs.


Prochaine étape: le rendu de la surface anti-dérapante de la proue. A bientôt!

Un vrai travail de Bénédictin ton affaire !
Quelle patience !

Re-bonjour! Après une interruption due à des impératifs professionnels, nous voici de retour avec la suite des opérations: la proue et la réalisation de quelques détails.

En se fondant sur les traits croisés à 90° qu'on voit sur les photos précédentes, on réalise la surface anti-dérapante avec des tronçons de grappe plastique étirée à la flamme. Une fois les tronçons posés et bien secs, on ponce légèrement pour égaliser leur hauteur et on ponce sur les côtés pour qu'ils ne dépassent pas. Après cela, on peut continuer à poser les bittes et autres accessoires sur le pont.


Réalisation de l'ancre et des ailerons de plongée. Les retraits de plastique sont comblés à la colle puis seront poncés.


Fabrication des lignes d'arbres. On note que des dalots ont été figurés vers la poupe, selon la méthode illustrée plus haut.


Autre vue.


Réalisation des ailerons, gouvernail et hélices.


Fixation des protections arrière.


Mise en place de l'ancre dans son logement. Elle sera peinte dans la masse, et son relief accentué par des opérations de frottage à sec. Les axes des ailerons sont prêts à recevoir ces derniers, opération faite à la fin.

Dans la prochaine étape nous commencerons à nous pencher sur l'armement et l'optique.

A bientôt!

Bonjour, de retour sur le forum après une petite absence.

Pour les fanas: l'épave a été retrouvée, et sur ce site, on trouve quelques photos intéressantes:  http://www.dailymail.co.uk/news/article-3062833/First-look-inside-wreck-WW2-Japanese-mega-submarine-big-hangar-room-three-BOMBERS.html

Voyons comme prévu l'optique, l'armement et en prime: la ceinture anti-magnétique.
Sans entrer dans les détails,  notons que le mini-modèle est bâti autour de son piédestal conique, par collage successif des pièces. Nous avons fixé une tige des plastique latéralement pour faciliter la manipulation puis la peinture. Le tube tourné provient de la marque polonaise GPM. (a titre d'exemple pour les tubes de 25 mm type 96: https://sklep.gpm.pl/en/accessories/barrels/1/200/japan/barell-25-mm-japan-20-pice)



Même méthode pour les affuts triple de 25 mm.


Pour le ,plaisir: positionnement à sec après peinture.


Les binoculaires en cours de montage à la chaîne!


Pour la ceinture anti-magnétique, je commence par poser deux rangées parallèles, de profilé Evergreen le long de la coque. Collage à la colle liquide.


Vers la proue.


Vers la poupe.


Côté babord.


Ensuite, le plus fastidieux commence: il s'agit de relier les deux profilés par du plastique étiré fin (nous l'avons choisi en gris, pour que la couleur tranche et soit plus facile à coller et rectifier si besoin) sur toute la longueur.


Les tronçons de fil étiré sont volontairement plus long pour qu'ils collent bien et soient plus facile à manipuler. Une fois bien sec, on coupe ce qui dépasse et un ponçage léger vient uniformiser l'ensemble.

Et voilà, suite dans le prochain numéro!

A ce stade, on peut commencer à se préoccuper du socle de présentation. Nous avons travaillé en deux temps: d'abord le socle en bois, puis la vitrine pour ne pas se "planter" dans les dimensions de celle-ci!

Le socle est en chêne, composé de deux parties: en bas, la partie avec moulure, au dessus, la partie à parois verticales (1 cm d'épaisseur) qui sert à positionner la vitrine, et dont la hauteur permet le percement de trous pour les vis. On colle des lattes de bois d'une dimension compatible avec l'esthétique: pour nous, de section carrée de 7 x 7 mm.
Le socle a été fait sur  commande  avec nos dimensions.


Recherche de la bonne place pour le sous-marin: nous recommandons que la distance en avant de la proue soit un peu plus grande que la distance en l'arrière de la poupe. Bien situer l'axe central par un léger trait de crayon.


A la fois pour l'esthétique et pour le positionnement bien vertical du I-400, nous collons deux longerons de la même section sur les côtés, sur lesquels viennent s'appuyer les barres anti-roulis.
Noter que les câbles anti-magnétiques ont été poncés.


On voit nettement la distance à l'avant, qui donne plus d'élégance à l'ensemble.
Quand toutes les parties en bois sont collées (colle blanche ou UHU-Hart, sans dépasser), on vernit l'ensemble. Ici nous avons choisi la teinte "chêne clair".

Il reste à repérer sous le sous-marin et sur le socle les deux passages de vis pour la fixation finale et définitive (non illustré)

La prochaine fois, nous continuerons avec les catapultes.

Très jolie présentation de ton soum'


ps : tu te vouvoies ?

Juste magnifique   Quel travail je suis admiratif de se savoir faire ainsi que de la débrouillardise dont tu fais preuve pour trouver les solutions et les techniques pour arriver à cela   bravo à toi et bonne suite 

qu'une chose a dire "magnifique"

stephane

Bonjour,

Un sacré chantier !
travail minutieux et super bien détaillé, pas à pas très interressant à visionner
Félicitations et bonne continuation pour la suite de ton chantier
Amitiés
malva62