HMAV Bounty 1783 [Artesania Latina + McKay 1/48°] de kerezou

OK avec Georges

Je me posais effectivement la question, quelle teinte pour tout ces accastillages ? Je vais suivre l'avis général et passer un coup de brunisseur au pinceau.

PS : le cerclage est peint.

La classe.
Ces pièces apportent un vrais plus aux maquettes, superbe  
Oui pour le brunissage, ou le vert de gris, je trouve que le laiton non traité donne un côté bibelot.

Philippe.

Et des herpes faits main. Mais c'est fragile quand même. Noyer 1.5 * 1.5


Je viens de voir les clous. A noircir pour la prochaine.

Toujours compliqué les herpes, aurais tu une photo de côté ?

et voici.

Super ce Bounty !
Kerezou, histoire de t'embêter un peu  : 
Avec ces supers réas, les renforts de maintien des bossoirs sur le pont ne mériteraient-ils pas d'être noircis eux aussi.
Encore un détail, gratouilleras-tu les quelques petites bavures de peinture jaune sur la coque ?
Comme tu vois, je pinaille ...

Renforts : clous , ce sera fait.
Quant à la peinture, me connaissant, j'ai peur de faire pire.

Merci pour ces photos, on mesure la difficulté pour mettre tout ça en place, exercice réussi.

Bonsoir,
Toujours super comme d'habitude, bravo

Amicalement Georges

J'ai refais le cabestan selon les plans : 

et je me suis rendu compte d'un problème. D'après le McKay il n'y a rien de prévu pour fermer la trappe de l'escalier, donc à moins de sauter par dessus, on ne peut pas utiliser le cabestan. La question est la suivante ; quelle était la méthode à l'époque pour "fermer" cette trappe d'accès ?

Ci-dessous, copie McKay :

Rester accroché les pieds en l'air le temps de passer par dessus ...
Sinon comme les autres je pense ...

Sur le dessin que tu montres on voit une nervure dans le cadre, qui devait sans doute recevoir un panneau plein avec un anneau à chaque angle pour pouvoir le retirer, d’autant qu’il n’y a pas de garde corps. Sur bien des bateaux on voit cette configuration ou lors de la rotation du cabestan les anspects passent au dessus d’une trappe.

Ok, je vais chercher des exemples. 
Merci Pierre

Quelques bittes, le "coffre" pour protéger la barre et le local à pavillon.
La bitte devant le sabord n'est pas fixéz même si elle est telle que dans le MK. J'attends de voir si ça gène ou pas le canon.

C'est quoi toutes les bittes ?

Bonsoir,
+1 avec Yoann, quelle fonction pour ces bittes ? 

Bonne continuation

Amicalement Georges

Bonsoir
J’ai la même question, et je me demande en plus ce qui se passe avec la bitte qui est dans l’axe d’un sabord. Comment aligner un canon en face de ce sabord ?
Amitiés
Pierre

Elles existent biens comme ça. Présent sur le plan du musée Greenwich, le canon est appuyé dessus. Je comprend pas à quoi elles servent?
Mais il me semble que la bounty n'a jamais tirée un coup de canon.

Donc je n'avais pas la berlue.
Ci-dessous extrait du MK



J'ai jeté un rapide coup d'oeil sur le gréement, et à priori, seul un galhauban arrive sur une de ces bittes !

Sur certaines maquettes il y en a moins et pas dans l’axe des sabord.

Bonjour à tous.

Petites précisions.

J' ai lu plusieurs fois, que  le ( la  Bounty) n'avait jamais tiré un seul coup de canons.
Permettez moi d’être en contradiction totale avec ce genre d'affirmation purement gratuite pour plusieurs raisons.

 1  Tous les vaisseaux quelques soit leur nationalité de l'époque possédaient des pièces à feu, espingoles ou canons de différents calibres selon leur rang.

 2 D'abord cela représentait une raison sociale et aussi pour la raison la plus simple du monde, c'est quand cas de difficulté à manœuvrer, voir de risque naufrage. Le navire puisse demander du secours. Les navires entrant au port s'alluaient leur arrivée. Le canon servait aussi pour rappeler le monde à bord lors de l 'appareillage.
 
3 Le salut au Roi, le salut envers le pavillon d'une autre nation ( il y avait tout un protocole, si celui-ci n'était pas respecté, le navire s'estimant offensé par la non-réponse du navire salué ouvrait le feu contre lui , créant un incident diplomatique de premier ordre. Un incident de cet ordre s'est produit entre un navire français et un Espagnol et à fait grand bruit à l''époque(  je ne ne me souviens plus si c' était Tourville ou Dugays-Trouin ).

4Le navire marchand courant les mers se devait d’être protéger par un minimum d'armement pour repousser d'éventuelles attaques de pirates locaux.

5 L'exemple de la Bounty ou autre Endeavour montrant quelques pièces d'artillerie est classique de cette époque.

Bonne journée à tous jean-jacques

Autres précisions. J'ai retrouvé " l'incident du défaut de salut au pavillon de France.
 Cela s'est passé le 9 juin1688 entre une petite escadre commandée par Tourville et un amiral espagnol du nom de  Papachino. Le salut se composait de 9 salves tirées de part et d'autre.

Furieux ne n’être pas salué en premier par l'amiral espagnol selon les convenances. Tourville se jeta comme un furieux sur le navire espagnol en faisant feu de toute sa batterie.

L'Espagnol finit par s’acquitter de ses civilités au prix de plus de 120 morts ou blessés.


JJM

C'est vrai ...
Sur la Bounty c'était dissuasif... Pour les saluts etc on envoie un boulet ou on fait juste péter un coup ?
Les bittes sont biens la ...pas vraiment dans l'axe du dernier sabord mais devant quand même.

Merci pour les infos.