Bonjour,
Superbe travail sur la coque et les superstructures qui sont très détaillées. Je vois que tu maîtrises les fines soudures du laiton
Il est donc dommage de simplifier l'accastillage de la mâture comme tu l'as fait. Sur les grands voiliers la fixation des vergues aux mâts est complexe et permet la rotation sur un axe vertical (le brasseyage), sur un axe horizontal (l'apiquage) et une translation de haut en bas pour les vergues volantes (hunier volant, perroquet volant).
Le cerclage sur le mat est fixe et va recevoir les gambes de revers des haubans de hune, donc tu ne pourras pas le faire tourner sur le mât.
Sur les allures de près, les vergues pouvaient avoir un angle de 30° par rapport à la coque, donc elles pouvaient tourner de 60° dans un sens ou dans l'autre.
Telles que je les voie, tes vergues sont fixes dans toutes les directions.
D'autre part, sous la hune, il y a deux jottereaux (des flasques en tôle de chaque côté du mât) qui soutiennent la hune. Sur ton mât il semble que ce soit un bloc de bois d'une seule pièce.
Amitiés.
Fred